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Nos Lecteurs ont la Parole - Sylvio LE BLANC

Les nazis et les jihadistes de l’EI se valent

La Cour suprême du Canada refuse d’entendre l’appel d’un homme d’origine ukrainienne, Helmut Oberlander, qui faisait partie d’un escadron de la mort nazi durant la Seconde Guerre mondiale. La révocation de sa citoyenneté canadienne est de ce fait définitive. Le Canada peut révoquer la citoyenneté canadienne d’un ex-nazi de 95 ans dorénavant apatride au motif qu’il a menti sur son passé monstrueux, mais ne veut pas déchoir de leur citoyenneté des jihadistes canadiens coupables des pires crimes imaginables et retenus prisonniers en Syrie et en Irak. Quelque chose m’échappe. Si le Royaume-Uni l’a fait plusieurs fois, pourquoi le Canada se l’interdit-il ? Je demande au gouvernement libéral de Justin Trudeau de réactiver la loi 24 que les conservateurs avaient promulguée en 2015 et qu’il a abolie après avoir pris le pouvoir. Cette loi permettait justement la déchéance de la citoyenneté canadienne pour ceux qui ne la méritent plus.

Montréal-Québec

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour.

La Cour suprême du Canada refuse d’entendre l’appel d’un homme d’origine ukrainienne, Helmut Oberlander, qui faisait partie d’un escadron de la mort nazi durant la Seconde Guerre mondiale. La révocation de sa citoyenneté canadienne est de ce fait définitive. Le Canada peut révoquer la citoyenneté canadienne d’un ex-nazi de 95 ans dorénavant apatride au motif qu’il a menti sur...

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