A l'imprimerie, la naissance de la nouvelle formule de L'Orient-Le Jour (vidéo)

Depuis de nombreuses années, sanctuariser un journal et faire du journalisme ressemblent de plus en plus à un parcours du combattant : les difficultés augmentent, notamment avec un modèle économique mis à mal ; l'éthique, entre fake news et intox répétées, se perd, et les réseaux sociaux sont devenus le paradis des journalistes du dimanche. Comme n'importe quel quotidien dans le monde, L'Orient-Le Jour avait deux choix : rester spectateur et attendre (de meilleures circonstances, un miracle...), c'est-à-dire mourir lentement ; ou bien agir, faire tout ce qui est possible et envisageable, rédaction et administration main dans la main, pour sortir la tête de l'eau, prendre (et fendre) les vagues et assurer le plus honnêtement sa mission, son contrat moral qu'il a signé avec ses lectrices et ses lecteurs, c'est-à-dire avec vous, ici et sur les cinq continents.

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Pour mémoire

« L'Orient-Le Jour » affichera dès lundi son nouveau visage