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Économie

Pour Transparency International, la corruption mondiale se nourrit des populismes

Dans son rapport annuel, Transparency International (TI) a dénoncé hier l'impact de l'essor des populismes sur la corruption. « L'année 2016 a montré que la corruption systémique mondiale et les inégalités sociales se renforcent mutuellement » et « fournissent un terrain fertile à la montée des populismes », indique l'ONG dans un communiqué. Mais les dirigeants populistes promettent de combattre la corruption « mais ils ne le font pas, ils aggravent les choses en sapant la démocratie et la liberté de la presse », a dit à l'AFP Finn Heinrich, directeur de recherche à TI.
L'ONG pointe à ce titre du doigt la Turquie du président Recep Tayyip Erdogan, passée en un an du 66e au 75e rang dans son classement de perception de la corruption, et la Hongrie du Premier ministre Viktor Orban, 57e cette année (50e en 2016). À la 4e place en 2015, la Nouvelle-Zélande est en première position cette année avec une note de 90, ex æquo avec le Danemark, devant la Finlande (89) et la Suède (88), habituées du podium. La Corée du Nord (12 points), le Soudan du Sud (11) et la Somalie (10) ferment la marche, derrière la Syrie, 173e avec 13 points.

Dans son rapport annuel, Transparency International (TI) a dénoncé hier l'impact de l'essor des populismes sur la corruption. « L'année 2016 a montré que la corruption systémique mondiale et les inégalités sociales se renforcent mutuellement » et « fournissent un terrain fertile à la montée des populismes », indique l'ONG dans un communiqué. Mais les dirigeants populistes...

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