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Lifestyle - Échappée belle

Le piano de Zeina chante

Ses personnages lui ressemblent, les cheveux bouclés, le regard curieux, soulignés de traits épais noirs tout en gaieté, poétiques et bourrés de nostalgies. Zeina Abirached a Beyrouth dans le cœur et au bout de son pinceau jamais tari d'idées, d'images, de souvenirs. Auteure de Beyrouth Catharsis et 38 rue Youssef Semaani, (2006), Mourir Partir Revenir, Le jeu des hirondelles (2007), qui lui offre une reconnaissance internationale (sélection Angoulême 2008, 15 000 exemplaires vendus, traduction dans une dizaine de pays), Je me souviens, Beyrouth (2009) aux éditions Cambourakis, elle a également illustré Le Livre du Chevalier, Le Papa-Maman avec Angelina Galvani, Agatha de Beyrouth avec Jacques Jouet, ainsi que Père Mère (collectif dirigé par Yves Haddad).
Après avoir traité, à sa manière, de la guerre civile qui a marqué son enfance, Zeina Abirached est de retour avec un nouvel opus, Le Piano Oriental (éd. Casterman), dans lequel elle rend hommage à son arrière-grand-père, musicien et inventeur : Abdallah Chahine. À travers le personnage de Abdallah Kamanja et son fameux piano, elle partage une fois de plus son talent et une griffe aujourd'hui facilement reconnaissable et appréciée.
Elle sera spécialement au Liban pour la signature de l'ouvrage en avant-première à la librairie al-Bourj, aujourd'hui à 15 heures.

Ses personnages lui ressemblent, les cheveux bouclés, le regard curieux, soulignés de traits épais noirs tout en gaieté, poétiques et bourrés de nostalgies. Zeina Abirached a Beyrouth dans le cœur et au bout de son pinceau jamais tari d'idées, d'images, de souvenirs. Auteure de Beyrouth Catharsis et 38 rue Youssef Semaani, (2006), Mourir Partir Revenir, Le jeu des hirondelles (2007), qui...

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