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À La Une - grèce

La dette grecque pour les nuls (en images)



La vidéo/infographie de notre partenaire France 24

 

Deux jours après le référendum et le retentissant "non" des Grecs au dernier plan de réformes présenté par les créanciers, la zone euro attend de la Grèce des propositions de réformes "crédibles" pour éviter le scénario du pire au pays qui risque de dériver hors de la monnaie unique.

Le succès politique du chef du gouvernement Alexis Tsipras met à l'épreuve l'unité de dirigeants européens divisés sur la reprise des négociations avec la Grèce qui se trouve plus que jamais en situation d'urgence financière.

A Athènes, les banques resteront fermées au moins jusqu'à mercredi et les contrôles de capitaux imposés aux citoyens vont se poursuivre. Lundi soir, la Banque centrale européenne, la dernière institution qui maintient en vie l'économie grecque par un goutte-à-goutte financier aux banques hellènes, a poursuivi son action. Mais elle a aussi durci les conditions de ces prêts d'urgence, baptisés ELA, ce qui met une pression supplémentaire sur des banques grecques déjà à sec.

Les coffres d'Athènes sont vides, ou peu s'en faut, et le pays doit faire face dans les prochains jours à différents remboursements, certains à des créanciers privés, mais surtout plusieurs milliards d'euros à la BCE, le 20 juillet. Si Athènes ne paye pas ou ne trouve pas un accord, la BCE pourrait lâcher les banques grecques, propulsant le pays sur les rails d'une sortie de la zone euro, un scénario complètement inédit.

 

Ampleur de la dette, créanciers, restructuration... la crise de la dette grecque décryptée par notre partenaire France 24.

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Deux jours après le référendum et le retentissant "non" des Grecs au dernier plan de réformes présenté par les créanciers, la zone euro attend de la Grèce des propositions de réformes "crédibles" pour éviter le scénario du pire au pays qui risque de dériver hors de la monnaie unique.
Le succès politique du chef du...
commentaires (4)

Le Liban vient brillant second apres la Grece, en vue du fait que sa dette est aux alentours de 145% de son PIB, quoique je conteste ce pourcentage car j' estime qu' il est bien plus eleve, car nos comptes nationaux, qui n' ont pas ete votes depuis belle lurette, ne sont pas malheureusement tres fiables, compte tenu des milliers de cheques gouvernementaux annules ou disparus?????? En tous les cas nous devrions etre fiers, malgres tout, d'etre en bonne position, juste apres la Grece, n' est ce pas???????????????????????????????????????????????? Pauvre Liban qui ira ce soir feter cet evenement dans les rues ou dans les cabarets.

George Sabat

16 h 22, le 09 juillet 2015

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Commentaires (4)

  • Le Liban vient brillant second apres la Grece, en vue du fait que sa dette est aux alentours de 145% de son PIB, quoique je conteste ce pourcentage car j' estime qu' il est bien plus eleve, car nos comptes nationaux, qui n' ont pas ete votes depuis belle lurette, ne sont pas malheureusement tres fiables, compte tenu des milliers de cheques gouvernementaux annules ou disparus?????? En tous les cas nous devrions etre fiers, malgres tout, d'etre en bonne position, juste apres la Grece, n' est ce pas???????????????????????????????????????????????? Pauvre Liban qui ira ce soir feter cet evenement dans les rues ou dans les cabarets.

    George Sabat

    16 h 22, le 09 juillet 2015

  • Un jeu de poker menteur en fait....

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    04 h 58, le 08 juillet 2015

  • Pourquoi , nous ne sommes pas dans la statistique ...? juste histoire de comparer...avec la Grèce...

    M.V.

    21 h 47, le 07 juillet 2015

  • Le bluff eurocon à pris fin avec le oxi grec. Celui qui ne pourra pas s'en sortir c'est l'Europe coincée entre charybe et scilla.

    FRIK-A-FRAK

    20 h 12, le 07 juillet 2015

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