Rechercher
Rechercher

Liban

Les axes routiers toujours bloqués par les familles des otages

Les parents des otages n'en démordent pas : les routes resteront bloquées, jusqu'à ce que les officiels daignent venir les voir pour leur proposer une issue.
C'est en ces termes exprimés par l'un d'entre eux que les parents des 27 otages retenus par le Front al-Nosra et l'EI ont justifié hier la poursuite de leur mouvement de protestation, marqué par le blocage de plusieurs axes routiers du pays, notamment à Dahr el-Baïdar, totalement fermé depuis trois jours à la circulation. Les familles se disent d'autant plus contrariées qu'aucun responsable officiel ne les a contactées pour les mettre au courant des négociations visant à libérer leurs fils. Hier encore, ils ont réitéré leur appel en direction du gouvernement qu'ils ont exhorté à « prendre une décision courageuse » en vue de la libération des militaires. À défaut, ont-ils menacé, ce sera l'escalade.
Mercredi, les familles avaient annoncé qu'ils pourraient transférer leur mouvement devant le Sérail, voire même devant la prison de Roumieh, si les autorités ne s'activent pas pour trouver une issue. À plusieurs reprises, les parents ont demandé à l'État de favoriser le principe de l'échange des prisonniers islamistes contre les militaires. Une option qu'ils ont rappelé hier encore.

Les parents des otages n'en démordent pas : les routes resteront bloquées, jusqu'à ce que les officiels daignent venir les voir pour leur proposer une issue.C'est en ces termes exprimés par l'un d'entre eux que les parents des 27 otages retenus par le Front al-Nosra et l'EI ont justifié hier la poursuite de leur mouvement de protestation, marqué par le blocage de plusieurs axes routiers du...
commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut