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Liban

Ils ont dit...

- Waël Abou Faour, ministre de la Santé (PSP) : « J'espère que le retour de Saad Hariri porte avec lui les prémices d'un règlement du dossier de la présidentielle. »

- Jamal Jarrah, député (bloc du Futur) : « Saad Hariri a décidé de revenir au Liban à cause de la gravité de la situation, mais aussi à cause de l'indifférence de certains responsables qui exploitent les circonstances difficiles dans le pays pour faire de la surenchère. Il est là pour décider, avec les dirigeants libanais, des solutions radicales aux problèmes qui se posent sur la scène locale, notamment à Ersal. »

- Ahmad Fatfat, député (bloc du Futur) : « C'est un message très positif qui se dégage de ce retour, lequel donne une lueur d'espoir dans toute cette obscurité dans laquelle nous sommes plongés à cause du terrorisme et de la vacance présidentielle. Nous entrons aujourd'hui, à mon avis, dans une période qui prête à l'optimisme, même si des jours difficiles restent à venir surtout parce que plus de trente militaires sont portés disparus à Ersal et que des difficultés persistent pour l'élection d'un nouveau président. »

- Atef Majdalani, député (bloc du Futur) : « Je pense que son arrivée à Beyrouth porte une série de messages adressés aux différentes parties. Elle est aussi indicatrice de sa détermination à combattre le terrorisme ainsi que tous ceux qui veulent causer du tort au Liban. »

- Moustapha Allouche, ancien député (courant du futur) : « La rue tripolitaine est très soulagée par le retour de Hariri, parce qu'un commandement principal et efficace manquait au Liban, même s'il existait au niveau des décisions. »

- Sélim Jreissati, ancien ministre (proche du CPL) : « Ce retour s'explique par un besoin de réorganisation interne, une grande confusion régnant dans la demeure (...). À mon avis, la cohésion politique au sein du courant du futur est en danger. »

- Wi'am Wahhab, ancien ministre (8 Mars) : « Il devait revenir sinon il allait finir par être un leader sans terre et sans public. La situation dans les régions sunnites nécessitait sa présence. Il dit une chose à l'étranger mais son application sur le terrain n'est pas la même. Son retour était nécessaire et nous espérons qu'il est rentré pour rester surtout que la politique de l'intérim a été un échec. Nous l'avons vu avec Nagib Mikati et maintenant avec Tammam Salam, même si je considère que le rendement du gouvernement est plutôt bon. Pas à Ersal cependant où le gouvernement s'est montré lamentable. »

- Ali Khreiss, député (bloc Amal) : « Le retour de Saad Hariri à Beyrouth était prévu. Celui-ci aura bien entendu un impact positif sur la situation générale dans le pays. Il fallait qu'il ait lieu. »

- Waël Abou Faour, ministre de la Santé (PSP) : « J'espère que le retour de Saad Hariri porte avec lui les prémices d'un règlement du dossier de la présidentielle. »
- Jamal Jarrah, député (bloc du Futur) : « Saad Hariri a décidé de revenir au Liban à cause de la gravité de la situation, mais aussi à cause de l'indifférence de certains responsables qui exploitent les...

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