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Religions entre universalité et particularité

Le Centre d'études et d'interprétation du fait religieux organise, les jeudi 27 et vendredi 28 février, un colloque sur les religions monothéistes. Le colloque prévu à la faculté des sciences religieuses de l'USJ se concentre sur les trois religions monothéistes pour découvrir comment chacune de ces religions arrive à conjuguer l'appartenance à une unité universelle tout en ayant des particularités liées aux différences culturelles ou historiques.
Les notions d' « universalité » et de « particularité » changent de contenu selon les trois religions. Ce colloque propose d'y réfléchir à partir d'exemples.
Pour plus d'informations : 01/421572, par e-mail
fsr@usj.edu.lb, ou sur le site de la faculté des sciences religieuses :
www.fsr.usj.edu.lb

Troisième appel à candidature de « Welcome »

« Welcome » est un programme de mobilité financé par l'Union européenne, dans le cadre de son programme Erasmus Mundus, et coordonné par l'Université Politecnico di Torino. Il propose des bourses de mobilité vers l'Europe aux niveaux master, doctorat ou postdoc pour des étudiants libanais et de niveaux doctorat et postdoc pour des étudiants égyptiens.
Le troisième appel à candidature est ouvert jusqu'au 10 mars.

Pour en savoir plus ou présenter sa candidature : http ://www.emwelcome.polito.it/applications

 

Le ciné-club de l'AUT

Le ciné-club de l'Université américaine de technologie (AUT) lance son nouveau cycle de films. Les prochaines projections sont prévues le 20 février, les 6 et 20 mars, et le 3 avril, à 19h, et seront suivies d'un débat animé par M. Émile Chahine.
Pour plus d'infos sur la programmation :
www.aut.edu ou 09/478143, extension 134.

Tiré du .Net

« Les aînés réussissent mieux scolairement

Les aînés de la famille sont plus nombreux à faire des études supérieures. Car leurs parents sont plus exigeants avec eux. Ils se mobilisent pour les faire réussir scolairement, passant plus de temps à faire les devoirs avec eux.
Selon que l'on est l'aîné, le cadet ou le benjamin, les trajectoires scolaires ne sont pas tout à fait les mêmes. Car l'aîné hérite de tous les espoirs de réussite de ses parents et bénéficie d'un accompagnement scolaire plus fort si l'on en croit plusieurs études.
En France, la documentation sur le sujet est limitée, explique François-Charles Wolff, qui s'est intéressé de près à L'influence du rang dans la fratrie sur le niveau d'éducation. Des travaux empiriques très détaillés existent aux États-Unis, au Royaume-Uni ou encore en Norvège. Tous suggèrent que les aînés ont un niveau d'éducation plus élevé.
Pour savoir si, en France, les aînés réussissent mieux que les cadets, le chercheur François-Charles Wolff utilise les enquêtes "Patrimoine" réalisées par l'Insee en 1998 et 2004. Sur un échantillon comprenant 10 413 enfants dans les familles de trois enfants, les aînés sont 28 % à obtenir des diplômes au-delà du niveau bac + 2, tandis que leurs frères ou sœurs ne sont que 25 %. La différence n'est pas criante. Et ne témoigne qu'en partie des stratégies familiales.
Car les aînés bénéficient d'une véritable mobilisation parentale, notamment dans le domaine de l'aide aux devoirs : la moitié des premiers-nés disent avoir travaillé avec leur père, contre seulement 30 % de leur frère ou sœur, selon l'enquête à paraître menée par Laure Moguérou, Emmanuelle Santelli, Christelle Hamel et Jean-Luc Primon, et révélée par Le Monde.
La mère semble, elle aussi, accompagner de très près la destinée scolaire de son premier enfant : 72 % des aînés déclarent avoir bénéficié de son aide, contre 58 % des cadets. "Puisque les aînés vivent plus longtemps que les cadets au sein d'une fratrie de petite taille, ils vont disposer d'un investissement accru de la part de leurs parents", constate François-Charles.
À 37 ans, Julia, mère de deux enfants, reconnaît qu'elle n'a jamais pu s'occuper individuellement du cadet. "Ils s'élèvent ensemble", dit-elle.
"Le premier, c'est un môme trophée", caricature Julia. Les experts sont formels, les parents projettent sur leur premier enfant ce qu'ils n'ont pas été ou ce qu'ils aimeraient qu'il soit. "L'aîné, c'est la réalisation de l'enfant imaginaire que nous portons tous en nous, affirme le pédopsychiatre Marcel Rufo au Monde. Ses parents suivent son développement psychomoteur à la loupe, ils gardent ses dessins, ils veulent qu'il fasse les études dont ils ont rêvé."
C'est le premier enfant qui transforme le couple en parents. Mais c'est aussi "lui qui le guérit de la névrose parentale", explique Marcel Rufo. Quand arrive le deuxième enfant, "on commence à relativiser", commente Julia. "Le premier enfant qui porte d'immenses espoirs de gloire et d'honneur comprend vite qu'il faut être à la hauteur de cette attente sous peine de décevoir ses parents", analyse Rufo. »

Pour lire l'article dans son intégralité :
http ://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/les-aines-reussiraient-mieux-scolairement-1148/

Religions entre universalité et particularité
Le Centre d'études et d'interprétation du fait religieux organise, les jeudi 27 et vendredi 28 février, un colloque sur les religions monothéistes. Le colloque prévu à la faculté des sciences religieuses de l'USJ se concentre sur les trois religions monothéistes pour découvrir comment chacune de ces religions arrive à conjuguer...
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