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Moyen Orient et Monde

« Mariam », ou le cinéma syrien au mépris du danger

Le film Mariam aurait pu ne jamais voir le jour à cause des dangers auxquels l’équipe a été confrontée lors du tournage, a expliqué son réalisateur. Le film raconte l’histoire de trois femmes partageant ce prénom vivant chacune à une époque où la Syrie est en guerre, et a remporté des prix lors de festivals à Oran en Algérie et à Dakhla, au Maroc. Selon le réalisateur syro-palestinien Basil al-Khatib, « certaines scènes ont été tournées à des endroits très dangereux, près des combats ». Mais, en dépit des dangers, il voulait que le film se concentre sur la façon dont l’humanité peut triompher dans un conflit. Le film s’ouvre d’ailleurs sur un vers du père du réalisateur : « Nous avons tout perdu, mais il nous reste l’amour. » « C’est une ode à la femme syrienne », ajoute le réalisateur, dont le film est baptisé Mariam en hommage à la Vierge Marie qui, dans les textes religieux, enseigne l’amour et la bonté.
Le film Mariam aurait pu ne jamais voir le jour à cause des dangers auxquels l’équipe a été confrontée lors du tournage, a expliqué son réalisateur. Le film raconte l’histoire de trois femmes partageant ce prénom vivant chacune à une époque où la Syrie est en guerre, et a remporté des prix lors de festivals à Oran en Algérie et à Dakhla, au Maroc. Selon le...

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