Les monarchies du Golfe ont dénoncé le discours « irresponsable » du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui a menacé, vendredi dernier, d’envoyer encore plus de combattants en Syrie au lendemain de l’attentat qui avait eu Roueiss pour cible.
« Au moment où le monde entier condamne la participation de la milice du Hezbollah dans les combats contre le peuple syrien (...), Nasrallah menace les Syriens d’une plus grande implication de son parti. Il s’agit d’une ingérence flagrante dans leurs affaires intérieures et d’une violation claire de la souveraineté syrienne », a estimé le Conseil de coopération du Golfe (CCG) dans un communiqué lundi soir.
Qualifiant le discours prononcé vendredi par le chef du Hezbollah « d’irresponsable », il a souligné que Nasrallah avait « également menacé les Libanais d’une plus grande implication dans la crise syrienne, faisant fi de la sécurité du Liban, de sa stabilité et de la coexistence communautaire » dans ce pays.
Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, s’est dit vendredi prêt à aller combattre personnellement en Syrie et à y envoyer plus de combattants aider le régime à défaire les extrémistes musulmans qu’il accuse d’être derrière les attentats contre ses fiefs au Liban.
Le CCG, qui regroupe Bahreïn, le Koweït, Oman, Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, avait décidé en juin d’imposer des sanctions aux membres du Hezbollah vivant dans ses États membres, en raison du soutien militaire apporté par le mouvement chiite aux forces du régime syrien.
« Au moment où le monde entier condamne la participation de la milice du Hezbollah dans les combats contre le peuple syrien (...), Nasrallah menace les Syriens d’une plus grande implication de son parti. Il s’agit d’une ingérence flagrante dans leurs affaires intérieures et d’une violation claire de la souveraineté syrienne », a estimé le Conseil de coopération du Golfe (CCG) dans un communiqué lundi soir.
Qualifiant le discours prononcé vendredi par le chef du Hezbollah « d’irresponsable », il a souligné que Nasrallah avait « également menacé les Libanais d’une plus grande implication dans la crise syrienne, faisant fi de la sécurité du Liban, de sa stabilité et de la coexistence communautaire » dans ce pays.
Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, s’est dit vendredi prêt à aller combattre personnellement en Syrie et à y envoyer plus de combattants aider le régime à défaire les extrémistes musulmans qu’il accuse d’être derrière les attentats contre ses fiefs au Liban.
Le CCG, qui regroupe Bahreïn, le Koweït, Oman, Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, avait décidé en juin d’imposer des sanctions aux membres du Hezbollah vivant dans ses États membres, en raison du soutien militaire apporté par le mouvement chiite aux forces du régime syrien.
Les monarchies du Golfe ont dénoncé le discours « irresponsable » du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui a menacé, vendredi dernier, d’envoyer encore plus de combattants en Syrie au lendemain de l’attentat qui avait eu Roueiss pour cible. « Au moment où le monde entier condamne la participation de la milice du Hezbollah dans les combats contre le peuple syrien...
commentaires (3)
On se fiche de se pensent les arabies obcurantistement démocratiques du golfe! Les habitants des quartiers sud de Beyrouth savent bien que chaque fois qu'ils ont eu besoin de l'état ou d'un coup de mais pour les aider dans les moment difficiles, cette mais ils l'ont trouvée au bout de leur bras.. n'en déplaisent aux riches golfiens y compris d'entre eux le maladroit saksouké, chef du parti du futur (antérieur).
Ali Farhat
00 h 59, le 22 août 2013