Le député Boutros Harb a appelé hier à « l’ouverture immédiate et sans plus de retard d’aéroports civils supplémentaires, afin d’éviter les menaces à la sécurité causées par ceux qui tiennent les rênes de l’aéroport international de Beyrouth et les axes qui y mènent ». Tout en exprimant « sa compréhension de la souffrance des proches des otages de Aazaz », il a jugé « inacceptable que les voies de l’aviation relèvent des développements sécuritaires et des réactions de ces familles ». Il a mis en garde contre le coup fatal que le blocage de la route de l’AIB risquerait de porter à la situation socio-économique du pays.
Cette mise en garde a été également exprimée par le président des instances économiques, l’ancien ministre Adnane Kassar, qui a appelé à libérer les pilotes turcs, dont la détention ne saurait aboutir au dénouement de l’affaire des Libanais de Aazaz. Il a aussi exhorté les responsables à mettre un terme au « désordre sécuritaire ».
Cette mise en garde a été également exprimée par le président des instances économiques, l’ancien ministre Adnane Kassar, qui a appelé à libérer les pilotes turcs, dont la détention ne saurait aboutir au dénouement de l’affaire des Libanais de Aazaz. Il a aussi exhorté les responsables à mettre un terme au « désordre sécuritaire ».
Le député Boutros Harb a appelé hier à « l’ouverture immédiate et sans plus de retard d’aéroports civils supplémentaires, afin d’éviter les menaces à la sécurité causées par ceux qui tiennent les rênes de l’aéroport international de Beyrouth et les axes qui y mènent ». Tout en exprimant « sa compréhension de la souffrance des proches des otages de Aazaz », il a...
