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Liban

Aoun participera à la conférence de dialogue, mais reste sceptique

Le chef du CPL, le général Michel Aoun, a annoncé samedi soir, au cours du dîner annuel de la commission centrale des syndicats au sein du CPL, qu’il appuie l’appel du président Michel Sleiman à la reprise de la conférence nationale de dialogue, tout en se disant sceptique quant à ses éventuels résultats. « Nous sommes favorables à l’appel lancé par le chef de l’État et nous irons au dialogue. Mais le dialogue mené depuis 2006 jusqu’à aujourd’hui est resté stérile, parce que chacun des participants a son propre agenda et personne ne cherche à trouver une solution, mais à avoir des positions à la conférence de dialogue », a-t-il déclaré.
« Le dialogue est organisé entre des personnes qui reconnaissent l’existence d’un problème à régler. Ce qui se passe aujourd’hui est que chacun reconnaît l’existence d’un problème, sauf que son problème est avec l’autre. » Ils « n’acceptent pas que le Liban soit pour tous et n’exercent pas leurs responsabilités nationales », a-t-il déploré, avant de mettre en garde contre les conséquences d’un durcissement des positions. « S’“ils” ne réalisent pas que le Liban est en danger, nous risquons une effusion de sang qui affectera en premier ceux qui ignorent ce danger, comme c’est le cas dans la majorité des pays arabes », a averti M. Aoun, en soulignant qu’il « n’essaie pas d’intimider qui que ce soit, mais qu’il attire l’attention sur un danger réel ».
Le chef du CPL, le général Michel Aoun, a annoncé samedi soir, au cours du dîner annuel de la commission centrale des syndicats au sein du CPL, qu’il appuie l’appel du président Michel Sleiman à la reprise de la conférence nationale de dialogue, tout en se disant sceptique quant à ses éventuels résultats. « Nous sommes favorables à l’appel lancé par le chef de l’État et...
commentaires (3)

"Le dialogue mené est resté stérile, parce que personne ne cherche à trouver une solution, mais à avoir des positions à cette conférence de dialogue." ! Il parle de qui là ? De lui ou de ce hézébbb-làh. "S'ils" "ne réalisent pas qu'il y a danger, nous risquons une effusion de sang qui les affectera en premier, "eux" qui ignorent ce danger".... et sans vouloir les "Menacer ou les intimider" ! Il parle de qui là ? Des Syriens ou des Libanais Sains ? !

Antoine-Serge KARAMAOUN

12 h 43, le 22 juillet 2013

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Commentaires (3)

  • "Le dialogue mené est resté stérile, parce que personne ne cherche à trouver une solution, mais à avoir des positions à cette conférence de dialogue." ! Il parle de qui là ? De lui ou de ce hézébbb-làh. "S'ils" "ne réalisent pas qu'il y a danger, nous risquons une effusion de sang qui les affectera en premier, "eux" qui ignorent ce danger".... et sans vouloir les "Menacer ou les intimider" ! Il parle de qui là ? Des Syriens ou des Libanais Sains ? !

    Antoine-Serge KARAMAOUN

    12 h 43, le 22 juillet 2013

  • POUR PARTICIPER AU DIALOGUE ON DEVRAIT AVANT ET IMMÉDIATEMENT SE RÉINTÉGRER AU CHEPTEL... LES BREBIS ÉPARPILLÉES TOMBENT TRÈS VITE VICTIMES DES LOUPS...

    SAKR LOUBNAN

    10 h 09, le 22 juillet 2013

  • Chaque fois que l'on parle de dialogue dans ce pays, les citoyens se rendent compte combien la politique y est bâtie sur des illusions (pour ne pas dire des mensonges). Le dialogue dont il s'agit, et qui est tenté depuis des années, est rendu impossible par les (im)positions arbitraires du Hezbollah, commandées à partir de l'Iran. La plus claire illustration de cette réalité, en ce moment, est l'engagement du Hezb dans la guerre en Syrie sur ordre de l'Iran, alors que juste avant il avait signé, avec toutes les parties présentes au dialogue, la Déclaration de Baabda sur la distanciation du Liban des conflits régionaux, et plus particulièrement du conflit en Syrie. Ce fait constitue actuellement la preuve la plus flagrante que le Hezbollah est organiquement une institution iranienne, une branche iranienne des Gardiens iraniens de la révolution. Logiquement donc un dialogue est strictement impossible avec le Hezbollah au Liban. Un tel dialogue devrait être conçu et avoir lieu en Iran avec les autorités iraniennes compétentes. Il n'y a pas d'autre choix dans cette question.

    Halim Abou Chacra

    05 h 19, le 22 juillet 2013

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