« Le Liban est une patrie pour tous ses fils et les différentes parties doivent multiplier leurs efforts pour favoriser son développement et traiter ses problèmes, sans chercher à monopoliser le pouvoir et à le transformer en ferme. » Ces propos ont été prononcés par le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, lorsqu’il a reçu Maan Bachour. Kassem a aussi réclamé l’arrestation de ceux qui cherchent à troubler la sécurité du pays, quelle que soit leur confession, pour que les citoyens sentent qu’il y a une justice et que leurs droits sont préservés. « Nul n’a le droit de protéger les contrevenants sous prétexte qu’ils appartiennent à sa confession », a encore déclaré cheikh Kassem qui a estimé qu’il y a « une cuisine locale et régionale chargée d’inciter à la discorde. C’est pourquoi toutes les parties doivent faire preuve d’un grand sens des responsabilités pour éviter une telle discorde, sachant que celle-ci ne fera que des vaincus... ».
De son côté, cheikh Nabil Kaouk, lui, a abordé la bataille de Qousseir, demandant « où sont les massacres dont on a accusé le Hezbollah ? Non seulement il n’y en a pas, mais les blessés de l’opposition syrienne et du front al-Nosra ont été transportés au Liban dans nos voitures et c’est nous qui les avons remis à la Croix-Rouge ». Cheikh Kaouk a encore affirmé que le Hezbollah ne regrettait pas d’avoir agi ainsi, car c’est sa morale et la voix qu’il s’est choisie, celle de la résistance dans la dignité. Cheikh Kaouk s’est ensuite adressé à l’Occident en lui demandant si l’appui à l’opposition en Syrie est destiné en fait à appuyer le peuple et ses revendications démocratiques, pourquoi alors dans ce cas, ce même Occident n’appuie pas l’opposition à Bahreïn et en Turquie ? Cheikh Kaouk a affirmé qu’il ne s’agit pas en fait d’un soutien à la démocratie, mais de créer un axe pour combattre celui de la résistance. « Mais ils ont été surpris non seulement par la solidité du régime syrien et de son armée, mais aussi par l’appui populaire dont il jouit. C’est pourquoi aujourd’hui, le principal souci des États-Unis et de leurs alliés, c’est d’empêcher le président Assad de présenter sa candidature pour un nouveau mandat en 2014. » Cheikh Kaouk a encore accusé le courant du Futur d’utiliser l’arme de la dissension confessionnelle pour cacher ses échecs en Syrie et au Liban. Il l’a aussi accusé de vouloir à tout prix provoquer des incidents au Liban et tenter d’y reproduire le conflit qui se déroule en Syrie. Il a ajouté que le Liban ne se laissera pas entraîner dans la discorde car « nous ne trahirons pas notre peuple et notre résistance. Le conflit en Syrie ne sera pas transposé au Liban et nous ne permettrons pas au Liban de revenir dans le giron américain ou israélien », a déclaré cheikh Kaouk.
De son côté, cheikh Nabil Kaouk, lui, a abordé la bataille de Qousseir, demandant « où sont les massacres dont on a accusé le Hezbollah ? Non seulement il n’y en a pas, mais les blessés de l’opposition syrienne et du front al-Nosra ont été transportés au Liban dans nos voitures et c’est nous qui les avons remis à la Croix-Rouge ». Cheikh Kaouk a encore affirmé que le Hezbollah ne regrettait pas d’avoir agi ainsi, car c’est sa morale et la voix qu’il s’est choisie, celle de la résistance dans la dignité. Cheikh Kaouk s’est ensuite adressé à l’Occident en lui demandant si l’appui à l’opposition en Syrie est destiné en fait à appuyer le peuple et ses revendications démocratiques, pourquoi alors dans ce cas, ce même Occident n’appuie pas l’opposition à Bahreïn et en Turquie ? Cheikh Kaouk a affirmé qu’il ne s’agit pas en fait d’un soutien à la démocratie, mais de créer un axe pour combattre celui de la résistance. « Mais ils ont été surpris non seulement par la solidité du régime syrien et de son armée, mais aussi par l’appui populaire dont il jouit. C’est pourquoi aujourd’hui, le principal souci des États-Unis et de leurs alliés, c’est d’empêcher le président Assad de présenter sa candidature pour un nouveau mandat en 2014. » Cheikh Kaouk a encore accusé le courant du Futur d’utiliser l’arme de la dissension confessionnelle pour cacher ses échecs en Syrie et au Liban. Il l’a aussi accusé de vouloir à tout prix provoquer des incidents au Liban et tenter d’y reproduire le conflit qui se déroule en Syrie. Il a ajouté que le Liban ne se laissera pas entraîner dans la discorde car « nous ne trahirons pas notre peuple et notre résistance. Le conflit en Syrie ne sera pas transposé au Liban et nous ne permettrons pas au Liban de revenir dans le giron américain ou israélien », a déclaré cheikh Kaouk.
« Le Liban est une patrie pour tous ses fils et les différentes parties doivent multiplier leurs efforts pour favoriser son développement et traiter ses problèmes, sans chercher à monopoliser le pouvoir et à le transformer en ferme. » Ces propos ont été prononcés par le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, lorsqu’il a reçu Maan Bachour. Kassem...
commentaires (6)
Ben oui, C'est dit! ça étonne encore quelqu'un?? Il ne faut pas prendre cette phrase à la légère. Rien n'empêche au Liban de croire en cette idée et d'être au même moment sur le Wazzani, terre autre fois occupée par ceux que cite le hezb et de griller du méchwi en toute tranquillité en famille à 5 mètres de la frontière de la Palestine occupée par ces criminels sionistes et où souvent les effluves des grillades bien de chez nous, remplissentles grosses narines usurpatrices des ébahis soldats ennemis étrangers à notre région et notre mode joyeux séculaire et serein de vie! Ayons foi dans ce qui disent les sages! Un jour viendra, où de l'autre coté de la frontière, y aura des familles Palestiniennes qui feront idem sur leur terre, en bon voisinage en se rappelant le temps jadis où il y avait des soldats occupants venus de loin, la où ils font leur méchwi. Sa77tén!
Ali Farhat
16 h 28, le 23 juin 2013