La prise du terminal de Rafah, une ligne rouge franchie pour l’Égypte ?
Un déploiement israélien dans la zone sous contrôle égyptien constituerait une violation de l’accord de paix conclu entre les deux pays voisins en 1979.
Photo prise le 19 mars 2007 de soldats égyptiens patrouillant sur une route parallèle au corridor de Philadelphie. Cris Bouroncle/Archives AFP
La réaction de l’Egypte était particulièrement scrutée après le coup de force israélien mardi dernier sur le point de passage de Rafah. C’est pourtant un calme relatif qui a dominé les déclarations officielles. Le Caire a certes montré des signes...
La réaction de l’Egypte était particulièrement scrutée après le coup de force israélien mardi dernier sur le point de passage de Rafah. C’est pourtant un calme relatif qui a dominé les déclarations officielles. Le Caire a certes montré des signes...
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En 2005 L'ancien Général et premier ministre Arik Sharon a fait l'erreur de remettre les clefs de ce corridor au Président Egyptien Mubarak. Les accords de 1979 donnaient le contrôle du corridor aux Israéliens. L'entité roulée dans la farine en découvrant les quantités de tunnels, d'armes, explosifs, munitions ont finit par comprendre que c'est une autoroute souterraine facilité par la corruption Egyptienne : "ce n'est n'est pas l' Eurotunnel mais Sinaitunnel"
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En 2005 L'ancien Général et premier ministre Arik Sharon a fait l'erreur de remettre les clefs de ce corridor au Président Egyptien Mubarak. Les accords de 1979 donnaient le contrôle du corridor aux Israéliens. L'entité roulée dans la farine en découvrant les quantités de tunnels, d'armes, explosifs, munitions ont finit par comprendre que c'est une autoroute souterraine facilité par la corruption Egyptienne : "ce n'est n'est pas l' Eurotunnel mais Sinaitunnel"
En 2005 L'ancien Général et premier ministre Arik Sharon a fait l'erreur de remettre les clefs de ce corridor au Président Egyptien Mubarak. Les accords de 1979 donnaient le contrôle du corridor aux Israéliens. L'entité roulée dans la farine en découvrant les quantités de tunnels, d'armes, explosifs, munitions ont finit par comprendre que c'est une autoroute souterraine facilité par la corruption Egyptienne : "ce n'est n'est pas l' Eurotunnel mais Sinaitunnel"
11 h 36, le 10 mai 2024