La décision de suspendre le projet de loi électorale orthodoxe, qui a découlé de la réunion, mercredi, des principales parties politiques chrétiennes à Bkerké, a suscité hier des réactions positives de la part de certains pôles politiques.
Lors d’une intervention à la radio al-Fajr, le député Boutros Harb a qualifié la mesure de « positive », et devant être « suivie d’autres efforts sérieux ». Il a trouvé « positif que le patriarche Bécharra Raï ait notifié les présents à la réunion qu’il ne pourra plus couvrir le projet de loi orthodoxe ». « Persister dans l’appui à ce projet, ou à celui de la circonscription unique avec système proportionnel, a freiné les débats qui auraient permis de parvenir à un accord sur une loi consensuelle », a-t-il estimé.
Prié de commenter le délai fixé par la réunion de Bkerké pour trouver un consensus sur la loi électorale (un mois), M. Harb a souligné que « si certains ont l’intention de reporter les élections, il n’y aura pas d’accord sur une loi électorale ». « Il est préférable de s’entendre sur une loi qui serait équitable et satisfaisante pour tous les Libanais », a-t-il conclu.
Pour sa part, le député Élie Marouni, bloc des Kataëb, s’est également dit satisfait des résultats de cette réunion, « qui a laissé la porte ouverte à une entente autour d’une loi, avec un délai acceptable qui repose les différentes parties ». « L’entente est à la base de tout ce débat, a-t-il ajouté. L’appui au projet orthodoxe a été suspendu pour un mois en vue d’une entente sur un projet consensuel. Si les intentions sont bonnes, il est impératif d’adopter une nouvelle loi électorale, car tout le monde a enterré la loi précédente. »
Lors d’une intervention à la radio al-Fajr, le député Boutros Harb a qualifié la mesure de « positive », et devant être « suivie d’autres efforts sérieux ». Il a trouvé « positif que le patriarche Bécharra Raï ait notifié les présents à la réunion qu’il ne pourra plus couvrir le projet de loi orthodoxe ». « Persister dans l’appui à ce projet, ou à celui de la circonscription unique avec système proportionnel, a freiné les débats qui auraient permis de parvenir à un accord sur une loi consensuelle », a-t-il estimé.
Prié de commenter le délai fixé par la réunion de Bkerké pour trouver un consensus sur la loi électorale (un mois), M. Harb a souligné que « si certains ont l’intention de reporter les élections, il n’y aura pas d’accord sur une loi électorale ». « Il est préférable de s’entendre sur une loi qui serait équitable et satisfaisante pour tous les Libanais », a-t-il conclu.
Pour sa part, le député Élie Marouni, bloc des Kataëb, s’est également dit satisfait des résultats de cette réunion, « qui a laissé la porte ouverte à une entente autour d’une loi, avec un délai acceptable qui repose les différentes parties ». « L’entente est à la base de tout ce débat, a-t-il ajouté. L’appui au projet orthodoxe a été suspendu pour un mois en vue d’une entente sur un projet consensuel. Si les intentions sont bonnes, il est impératif d’adopter une nouvelle loi électorale, car tout le monde a enterré la loi précédente. »
La décision de suspendre le projet de loi électorale orthodoxe, qui a découlé de la réunion, mercredi, des principales parties politiques chrétiennes à Bkerké, a suscité hier des réactions positives de la part de certains pôles politiques. Lors d’une intervention à la radio al-Fajr, le député Boutros Harb a qualifié la mesure de « positive », et devant être « suivie...
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