Un calme précaire a régné hier à Tripoli, au lendemain d’une journée mouvementée marquée par des échanges de tirs samedi, entre Bab el-Tebbaneh et Jabal Mohsen.
Dans ce secteur de la ville, il suffit de peu pour que la situation se détériore. Samedi, deux jeunes de Bab el-Tebbaneh, qui passaient par Jabal Mohsen, ont été agressés et poignardés. L’un d’eux a été transporté à l’hôpital dans un état critique. Aussitôt après, des échanges de tirs et de grenades ont été signalés. L’armée a dû se déployer dans les deux quartiers pour y rétablir le calme. Il n’en demeure pas moins que les tirs se sont poursuivis par intermittence. Les francs-tireurs ont sévi hier aussi, faisant trois blessés à Bab el-Tebbaneh.
Au site d’informations Nowlebanon, le cheikh salafiste Bilal Masri a qualifié la situation de « mauvaise, à cause de ceux qui veulent nous entraîner vers une bataille que nous refusons, pour plusieurs raisons et principalement parce qu’elle risque de s’étendre à tout le Liban ».
Le ministre des Finances, Mohammad Safadi, a souligné pour sa part devant ses visiteurs l’inquiétude des habitants de Tripoli « face aux informations sur la prolifération des armes et l’augmentation du nombre des éléments armés » dans le chef-lieu du Liban-Nord. Il a insisté sur la nécessité de barrer la voie à la discorde.
Parallèlement, le responsable politique du Parti arabe démocrate, Ali Eid, a démenti à la NTV la présence de roquettes Grad à Tripoli devenue, selon lui, « dans son ensemble le territoire de l’Armée syrienne libre ».
Plus loin à la frontière, des obus tirés de Syrie continuaient de tomber hier sur des villages frontaliers libanais, notamment Arma, Noura, Kachlak, Jennine et Wadi el-Har.
Dans ce secteur de la ville, il suffit de peu pour que la situation se détériore. Samedi, deux jeunes de Bab el-Tebbaneh, qui passaient par Jabal Mohsen, ont été agressés et poignardés. L’un d’eux a été transporté à l’hôpital dans un état critique. Aussitôt après, des échanges de tirs et de grenades ont été signalés. L’armée a dû se déployer dans les deux quartiers pour y rétablir le calme. Il n’en demeure pas moins que les tirs se sont poursuivis par intermittence. Les francs-tireurs ont sévi hier aussi, faisant trois blessés à Bab el-Tebbaneh.
Au site d’informations Nowlebanon, le cheikh salafiste Bilal Masri a qualifié la situation de « mauvaise, à cause de ceux qui veulent nous entraîner vers une bataille que nous refusons, pour plusieurs raisons et principalement parce qu’elle risque de s’étendre à tout le Liban ».
Le ministre des Finances, Mohammad Safadi, a souligné pour sa part devant ses visiteurs l’inquiétude des habitants de Tripoli « face aux informations sur la prolifération des armes et l’augmentation du nombre des éléments armés » dans le chef-lieu du Liban-Nord. Il a insisté sur la nécessité de barrer la voie à la discorde.
Parallèlement, le responsable politique du Parti arabe démocrate, Ali Eid, a démenti à la NTV la présence de roquettes Grad à Tripoli devenue, selon lui, « dans son ensemble le territoire de l’Armée syrienne libre ».
Plus loin à la frontière, des obus tirés de Syrie continuaient de tomber hier sur des villages frontaliers libanais, notamment Arma, Noura, Kachlak, Jennine et Wadi el-Har.
Un calme précaire a régné hier à Tripoli, au lendemain d’une journée mouvementée marquée par des échanges de tirs samedi, entre Bab el-Tebbaneh et Jabal Mohsen.Dans ce secteur de la ville, il suffit de peu pour que la situation se détériore. Samedi, deux jeunes de Bab el-Tebbaneh, qui passaient par Jabal Mohsen, ont été agressés et poignardés. L’un d’eux a été transporté à...
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