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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Da Vinci Code pour Walid

La Biennale de Venise en 2003, le Centre Pompidou en 2007, les Documenta 11 et 13 de Kassel, le Alpert Award in Visual Arts, le Deutsche Börse Photography Prize, le Camera Austria Award, même Meryl Streep ou Isabelle Adjani n’ont pas amassé autant de récompenses que... Walid Raad, connu et reconnu sur la scène artistique internationale. Et c’est loin d’être fini : la consécration éclatante est venue de la France. Du musée du Louvre. Imaginez, juste, le plus grand musée du monde qui vient de l’inviter à une collaboration sur trois années consécutives au cours desquelles il exposera, sur le thème « Scratching on things I could disavow – a history of art in the Arab World », des créations issues d’une méditation narrative et visuelle sur le devenir du « musée universel » à l’heure de la mondialisation !
Premier volet de ce vaste projet, la préface à la première édition et une publication conçue comme une composante artistique à part entière de cette expo inaugurée le 18 janvier dans la Salle de la Maquette (aile Sully), en présence du monde de l’art français et international, du président-directeur du musée Henri Loyrette, de la commissaire de l’exposition Marcella Lista, d’Antoine et Janine Maamari (qui ont contribué financièrement à l’édition de la publication), des galeristes de l’artiste : Andrée Sfeir-Semler (Beyrouth, Hambourg) et Anthony Reynolds (Londres). Le vernissage a été suivi d’un dîner donné par ce dernier au Bistro de Paris.
Le surlendemain, Antoine et Janine Maamari ont eu carte blanche pour emmener un groupe d’amis pour une visite privée de l’espace Visconti avec Sophie Makariou, directrice du département des arts de l’islam, et de la Salle de la Maquette avec la commissaire Lista. Parmi les invités, l’ambassadeur Boutros Assaker ; Amine et Andrée Maalouf ; Mona Khazindar, la directrice générale de l’Institut du monde arabe ; Carla Arigoni, la présidente du comité culturel de la mairie du 1er arrondissement de Paris ; Najwa Bassil Pietton ; Saleh Barakat ; Yolla Noujaim ; Mouna Touzani; Myra Prince, et j’en passe. Seule Nayla Saadé n’était pas au rendez-vous : en raison du mauvais temps, son avion n’a pas pu décoller ce jour-là de Marseille. Et pour terminer de belle façon la matinée, Antoine a emmené tout ce beau monde à déjeuner au café Marly.

Magida masterclass

Lors de la remise de la décoration de l’ordre des Arts et des Lettres à la diva libanaise Magida el-Roumi, qui depuis les 70’s chante la patrie et l’amour et enchante les cœurs de sa voix puissante et férocement passionnée, l’ambassadeur de France Patrice Paoli a marqué la cérémonie par deux temps forts : en émaillant son discours d’extraits de poèmes de Saïd Akl et des paroles de la chanson Kalimat, puis, juste avant d’épingler l’artiste du grade d’officier, en faisant retentir la musique de Beyrouth ; cette oum el-dounia a fait chavirer la centaine d’invités parmi lesquels le ministre de l’Information Walid Daouk représentant le PM Nagib Mikati ; le ministre de la Culture Gaby Layoun ; Ziyad et Linda Baroud ; l’ambassadeur d’Égypte ; Mouna Hraoui, de nombreux parents et amis de la vedette, sans oublier l’équipe de l’ambassade, notamment les premier et deuxième conseillers Jerôme Cauchard et Jean-Christophe Augé, François Abisaab, Aurélien Lechevallier, Carole Pratt, Christian Chaillot, etc.
De la belle émotion...

Chucri... Sinatra

Devant le Maillon, c’était l’état de siège... Des détachements de militaires, de policiers et des gardes de corps en tenue civile qui veillaient à la sécurité d’un grand nombre de juges siégeant au dîner annuel de l’Association des anciens des facultés de droit, des sciences politiques et économiques de l’Université Saint-Joseph. Au cours de la soirée, un hommage a été rendu à deux anciens de la faculté de droit : Jean Fahd, président du Conseil supérieur de la magistrature, et Fawzi Khamis, commissaire du gouvernement auprès de la Cour des comptes, qui ont reçu des mains du président Chucri Sader le trophée de l’association, sous une salve d’applaudissements et notamment ceux du ministre de la Justice Chakib Cortbaoui, du député Nehmé Tohmé, de Farid Raphaël, Adel Kassar, Francois Bassil et leurs épouses, de Leila Solh Hamadé, du président Aymane Ouaidat, de Berge Setrakian, des ex-bâtonniers Antoine Klimos (avec Sonia) et Ramzi Joreige, d’Émile Tyan, de Abbas et Randa Halabi, Makram et Micheline Sader, Gabriel et Grace Sehnaoui (qui ont continué leur soirée chez Ralph Eid qui célébrait le soir-même ses 25 ans de mariage), de Hala Chahine et Laudy Nader, sans oublier ceux du R.P. Salim Daccache, qui a tenu à remettre d’un jour son voyage à Dubaï pour participer au dîner. Après les allocutions et les remerciements adressés aux généreux donateurs qui permettent d’assurer annuellement plus de 30 bourses, place au dîner, à la musique et à l’inénarrable Chucri Sader, supersolide pour résister à toutes les tempêtes mais jamais à l’appel du micro, et qui a gratifié son public d’une ébouriffante prestation à la Sinatra !

IFL 100 000 volts !

 Après une courte trêve hivernale, le rythme de l’Institut français du Liban s’est à nouveau enflammé. Pensez donc : vernissage de la jeune Tamara Haddad dans la salle d’exposition de l’IFL et lancement du spectacle Quatre heures à Chatila au théâtre Monnot en présence de Julia Kassar et de l’ambassadrice de Belgique Colette Taquet, escortée par le conseiller culturel de l’ambassade de France, Aurélien Lechevallier. Une pièce que l’ambassadeur Patrice Paoli n’a d’ailleurs pas ratée. Ensuite, c’était l’ouverture officielle de la saison culturelle 2013 au théâtre Tournesol avec le cirque contemporain Defracto; la nouvelle représentation de Huis Clos mise en scène par Alain Plisson, et l’avant-première en grande pompe, devant une salle comble au Métropolis, de la rétrospective Alain Resnais, avec son dernier film Vous n’avez encore rien vu... Et ce n’est que le début ! Les semaines à venir seront survitaminées : les ceintures ont intérêt à être bien accrochées !

 

ditavonbliss@hotmail.com

Da Vinci Code pour WalidLa Biennale de Venise en 2003, le Centre Pompidou en 2007, les Documenta 11 et 13 de Kassel, le Alpert Award in Visual Arts, le Deutsche Börse Photography Prize, le Camera Austria Award, même Meryl Streep ou Isabelle Adjani n’ont pas amassé autant de récompenses que... Walid Raad, connu et reconnu sur la scène artistique internationale. Et c’est loin d’être...

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