Les routes bouchonnées du centre-ville de Beyrouth. Hasan Shaaban/
Un embouteillage monstre a bloqué en milieu d’après-midi, hier, toutes les entrées de la capitale, dont les artères étaient illuminées par les phares de véhicules presque entassés les uns contre les autres. Les voitures ont été bloquées pendant près de deux heures au niveau du centre-ville et des principaux carrefours de Beyrouth. Cette situation infernale pour les chauffeurs et les passagers, qui dure depuis plusieurs jours, est devenue une coutume de décembre, même si elle porte un avant-goût amer de la période festive de fin d’année.
Prié par L’Orient-Le Jour de commenter cette situation, le ministre de l’Intérieur Marwan Charbel a fait état d’un plan visant à limiter les embouteillages, surtout pendant le jour de Noël et le jour de l’An, et pendant les 24 heures qui les précèdent, en interdisant à ces dates précises la circulation des camions et véhicules lourds. Quid des autres jours ? « Ces embouteillages sont un phénomène normal pendant les fêtes », a répondu le ministre Charbel, énumérant à l’occasion les failles désormais connues du système : le manque d’effectifs au niveau des Forces de sécurité intérieure, mais aussi... « les coupures d’électricité qui entraînent un dysfonctionnement des feux de signalisation ».
Prié par L’Orient-Le Jour de commenter cette situation, le ministre de l’Intérieur Marwan Charbel a fait état d’un plan visant à limiter les embouteillages, surtout pendant le jour de Noël et le jour de l’An, et pendant les 24 heures qui les précèdent, en interdisant à ces dates précises la circulation des camions et véhicules lourds. Quid des autres jours ? « Ces embouteillages sont un phénomène normal pendant les fêtes », a répondu le ministre Charbel, énumérant à l’occasion les failles désormais connues du système : le manque d’effectifs au niveau des Forces de sécurité intérieure, mais aussi... « les coupures d’électricité qui entraînent un dysfonctionnement des feux de signalisation ».
Un embouteillage monstre a bloqué en milieu d’après-midi, hier, toutes les entrées de la capitale, dont les artères étaient illuminées par les phares de véhicules presque entassés les uns contre les autres. Les voitures ont été bloquées pendant près de deux heures au niveau du centre-ville et des principaux carrefours de Beyrouth. Cette situation infernale pour les...
Ah parce que les automobilistes et motards ( mobilettes) respectent déjà la signalisation?? Les policiers eux mêmes en charge de la circulation font leur boulot abstraction faite du feu qu'il soit vert ou rouge... Tout de même, on est crétins sans doute ( sinon nous ne serions pas aussi divisés) mais pas à ce point cher M le ministre. avec ou sans électricité...rien n'aurait changé.
07 h 34, le 20 décembre 2012