Judith Farah.
Question - Pouvez-vous nous présenter le LCN et nous indiquer quels sont ses objectifs ?
Réponse - Le LCN est une organisation non politique, non religieuse, visant à développer des liens entre les Libanais, plus précisément les universitaires, les anciens étudiants et les jeunes diplômés vivant aux États-Unis. Il a été fondé en 2007 par des étudiants et de jeunes professionnels libano-américains qui tenaient à ce que les divers clubs universitaires libanais et leurs membres, éparpillés aux quatre coins de l’Amérique, reçoivent tout le soutien dont ils ont besoin. Ils voulaient également que des rapports soient établis et développés entre eux. Aujourd’hui, avec mon équipe, nous demeurons fidèles à la volonté des fondateurs tout en cherchant à attirer de nouveaux clubs. D’ailleurs, nous avons atteint cet objectif puisque trois nouveaux clubs ont décidé récemment de nous rejoindre.
Le LCN regroupe au total 20 clubs. 500 personnes sont membres de notre organisation, et notre groupe sur Facebook compte plus de 1 100 personnes.
Quel bilan tirez-vous de la cinquième convention annuelle du LCN qui vient de se tenir à Los Angeles ?
Cette année, la convention a été une véritable réussite. Nous avons eu une participation record. Dix-sept clubs libanais ont répondu à notre appel. Nous avons organisé et réalisé 160 ateliers de travail qui ont permis à des étudiants et aux membres des clubs participants de perfectionner leurs compétences écrites ou orales, d’améliorer leur prise de parole en public, et d’envisager plus sereinement leur avenir. En effet, ceux qui le désiraient ont pu suivre des cours de gestion financière et des cours portant sur les moyens de créer et de développer leur entreprise.
Avez-vous des liens avec des universités au Liban ou bien travaillez-vous seulement avec des universités américaines ?
Des responsables du LCN ont présenté notre organisation à l’Université américaine de Beyrouth. Des étudiants de l’AUB souhaitant poursuivre leurs études aux États-Unis ont eu ainsi la possibilité d’établir des contacts avec nos membres et de leur poser des questions. Aujourd’hui, peu de liens sont tissés avec d’autres universités au Liban. Cependant, lors de notre dernière convention, plusieurs de nos membres ont indiqué qu’ils souhaitent une plus grande collaboration avec leur pays d’origine. Des projets sont actuellement à l’étude.
Enfin, quels conseils
donneriez-vous aux étudiants libanais qui rêvent de poursuivre leurs études aux États-Unis ?
Il faut d’abord qu’ils s’informent sur le LCN et qu’ils décident de nous rejoindre. Ils pourront alors profiter de nos réseaux et des relations que nous établissons entre les membres. Ayant moi-même émigré du Liban, je sais à quel point il est important de sentir, à l’arrivée dans un nouveau pays, qu’on est entouré. Les réseaux déjà établis peuvent constituer, pour les étudiants, un soutien inconditionnel. Ils pourront également présenter leurs dossiers pour recevoir des bourses d’études. Parmi les prix que nous offrons, figure un prix dédié à l’excellence et à la fidélité au patrimoine libanais. Il est attribué aux étudiants talentueux qui ont excellé dans leurs études et qui arrivent à défendre le patrimoine de leur pays d’origine.
Propos recueillis par
Pauline M. KARROUM, Illinois
Pour plus d’informations sur le Lebanese Collegiate Network : http ://lebanesecollegiatenetwork.org/home.php ou la page Facebook du LCN en tapant le nom de l’organisation.
Réponse - Le LCN est une organisation non politique, non religieuse, visant à développer des liens entre les Libanais, plus précisément les universitaires, les anciens étudiants et les jeunes diplômés vivant aux États-Unis. Il a été fondé en 2007 par des étudiants et de jeunes professionnels libano-américains qui tenaient à ce que les divers clubs universitaires libanais et leurs membres, éparpillés aux quatre coins de l’Amérique, reçoivent tout le soutien dont ils ont besoin. Ils voulaient également que des rapports soient établis et développés entre eux. Aujourd’hui, avec mon équipe, nous demeurons fidèles à la volonté des fondateurs tout en cherchant à attirer de nouveaux clubs. D’ailleurs, nous avons atteint cet objectif puisque trois nouveaux clubs ont décidé récemment de nous rejoindre.
Le LCN regroupe au total 20 clubs. 500 personnes sont membres de notre organisation, et notre groupe sur Facebook compte plus de 1 100 personnes.
Quel bilan tirez-vous de la cinquième convention annuelle du LCN qui vient de se tenir à Los Angeles ?
Cette année, la convention a été une véritable réussite. Nous avons eu une participation record. Dix-sept clubs libanais ont répondu à notre appel. Nous avons organisé et réalisé 160 ateliers de travail qui ont permis à des étudiants et aux membres des clubs participants de perfectionner leurs compétences écrites ou orales, d’améliorer leur prise de parole en public, et d’envisager plus sereinement leur avenir. En effet, ceux qui le désiraient ont pu suivre des cours de gestion financière et des cours portant sur les moyens de créer et de développer leur entreprise.
Avez-vous des liens avec des universités au Liban ou bien travaillez-vous seulement avec des universités américaines ?
Des responsables du LCN ont présenté notre organisation à l’Université américaine de Beyrouth. Des étudiants de l’AUB souhaitant poursuivre leurs études aux États-Unis ont eu ainsi la possibilité d’établir des contacts avec nos membres et de leur poser des questions. Aujourd’hui, peu de liens sont tissés avec d’autres universités au Liban. Cependant, lors de notre dernière convention, plusieurs de nos membres ont indiqué qu’ils souhaitent une plus grande collaboration avec leur pays d’origine. Des projets sont actuellement à l’étude.
Enfin, quels conseils
donneriez-vous aux étudiants libanais qui rêvent de poursuivre leurs études aux États-Unis ?
Il faut d’abord qu’ils s’informent sur le LCN et qu’ils décident de nous rejoindre. Ils pourront alors profiter de nos réseaux et des relations que nous établissons entre les membres. Ayant moi-même émigré du Liban, je sais à quel point il est important de sentir, à l’arrivée dans un nouveau pays, qu’on est entouré. Les réseaux déjà établis peuvent constituer, pour les étudiants, un soutien inconditionnel. Ils pourront également présenter leurs dossiers pour recevoir des bourses d’études. Parmi les prix que nous offrons, figure un prix dédié à l’excellence et à la fidélité au patrimoine libanais. Il est attribué aux étudiants talentueux qui ont excellé dans leurs études et qui arrivent à défendre le patrimoine de leur pays d’origine.
Propos recueillis par
Pauline M. KARROUM, Illinois
Pour plus d’informations sur le Lebanese Collegiate Network : http ://lebanesecollegiatenetwork.org/home.php ou la page Facebook du LCN en tapant le nom de l’organisation.
Question - Pouvez-vous nous présenter le LCN et nous indiquer quels sont ses objectifs ? Réponse - Le LCN est une organisation non politique, non religieuse, visant à développer des liens entre les Libanais, plus précisément les universitaires, les anciens étudiants et les jeunes diplômés vivant aux États-Unis. Il a été fondé en 2007 par des étudiants et de jeunes...