En battant avec une insolente facilité le Venezuela mercredi à Malaga (5-0), l’Espagne a montré qu’elle était déjà prête à défendre son titre à l’Euro 2012 et pris bonne note de la candidature de l’attaquant de Valence Soldado, auteur d’un triplé face aux Sud-Américains.
Un Soldado sur le pied de guerre
Avec un David Villa engagé dans une course contre la montre depuis sa fracture du tibia gauche en décembre et un Fernando Torres non retenu contre le Venezuela en raison de sa disette de buts avec Chelsea, l’Espagne se demandait ces derniers jours quel avant-centre elle allait bien pouvoir emmener à l’Euro 2012.
Le triplé inscrit contre le Venezuela par Roberto Soldado lui a apporté une partie de la réponse : pour son retour en sélection, où il n’avait plus été appelé depuis 2007, l’attaquant de Valence a été impeccable. Son entrée en seconde période aurait pu s’approcher de la perfection s’il avait transformé le penalty qu’il avait lui-même provoqué.
À l’issue du match, Del Bosque a pourtant refusé de donner la moindre piste sur sa décision finale : « Nous apprécions à sa juste mesure tout ce que Roberto a apporté, mais il ne s’agit pas de mépriser le travail des autres attaquants. La seconde période (durant laquelle Soldado a joué) était nettement plus commode. »
Iniesta, Silva, Fabregas, triplette de génie
En attendant que Del Bosque tranche le nœud gordien des avant-centres qu’il retiendra finalement pour l’Euro 2012, l’Espagne n’a de toute façon pas à s’inquiéter. Derrière l’inconnue de l’attaquant de pointe bouillonne une ligne de milieux qui sait absolument tout faire : créer, accélérer, temporiser et même marquer. Pour preuve : Iniesta et Silva ont été les premiers à trouver le chemin des filets, tous deux après une passe décisive de Fabregas, extrêmement collectif mercredi soir.
La performance de Silva est à souligner tout particulièrement : rapide et virtuose, le milieu de Manchester City a été le meilleur homme du match et se présente comme l’un des titulaires indiscutables de la Roja pour l’Euro.
Un Soldado sur le pied de guerre
Avec un David Villa engagé dans une course contre la montre depuis sa fracture du tibia gauche en décembre et un Fernando Torres non retenu contre le Venezuela en raison de sa disette de buts avec Chelsea, l’Espagne se demandait ces derniers jours quel avant-centre elle allait bien pouvoir emmener à l’Euro 2012.
Le triplé inscrit contre le Venezuela par Roberto Soldado lui a apporté une partie de la réponse : pour son retour en sélection, où il n’avait plus été appelé depuis 2007, l’attaquant de Valence a été impeccable. Son entrée en seconde période aurait pu s’approcher de la perfection s’il avait transformé le penalty qu’il avait lui-même provoqué.
À l’issue du match, Del Bosque a pourtant refusé de donner la moindre piste sur sa décision finale : « Nous apprécions à sa juste mesure tout ce que Roberto a apporté, mais il ne s’agit pas de mépriser le travail des autres attaquants. La seconde période (durant laquelle Soldado a joué) était nettement plus commode. »
Iniesta, Silva, Fabregas, triplette de génie
En attendant que Del Bosque tranche le nœud gordien des avant-centres qu’il retiendra finalement pour l’Euro 2012, l’Espagne n’a de toute façon pas à s’inquiéter. Derrière l’inconnue de l’attaquant de pointe bouillonne une ligne de milieux qui sait absolument tout faire : créer, accélérer, temporiser et même marquer. Pour preuve : Iniesta et Silva ont été les premiers à trouver le chemin des filets, tous deux après une passe décisive de Fabregas, extrêmement collectif mercredi soir.
La performance de Silva est à souligner tout particulièrement : rapide et virtuose, le milieu de Manchester City a été le meilleur homme du match et se présente comme l’un des titulaires indiscutables de la Roja pour l’Euro.
En battant avec une insolente facilité le Venezuela mercredi à Malaga (5-0), l’Espagne a montré qu’elle était déjà prête à défendre son titre à l’Euro 2012 et pris bonne note de la candidature de l’attaquant de Valence Soldado, auteur d’un triplé face aux Sud-Américains.Un Soldado sur le pied de guerre Avec un David Villa engagé dans une course contre la montre...