Captain America à la rescousse de la planète. (DR)
Captain America,
de Joe Johnston
Avec Chris Evans, Tommy Lee Jones et Hugo Weaving.
Depuis quelque temps, Hollywood a ouvert la voie royale à tous les comics et le 3D aidant a fait le reste. Ainsi une multitude d’adaptations de bandes dessinées, mettant en vedette les superhéros d’hier, déboulent à chaque saison sur grand écran. Si la recette est la même, beaucoup d’action, un peu d’humour, des effets spéciaux renversants et une 3D cosmétique, ainsi qu’une romance à l’eau de rose, une amitié virile, un méchant diabolique, certains réussissent mieux que d’autres.
Captain America : The First Avenger est le résultat d’un contrat bien rempli. Sur fond d’aventures d’Indiana Jones (avec incursions de personnages à la Star Wars) et de Seconde Guerre mondiale, un superhéros jadis jeune homme malingre et chétif va endosser l’habit de capitaine America et devenir Mr muscle, indispensable au peuple américain. En effet, Steve Rogers (Chris Evans) souhaite défendre les États-Unis au front. Sauf qu’il est trop frêle et sensible. Recruté par un scientifique (Stanley Tucci), entraîné par un colonel (Tommy Lee Jones), bénéficiant des conseils d’un inventeur (Dominic Cooper) et de l’attention particulière d’une jolie femme (Hayley Atwell), il accepte de recevoir un sérum qui décuplera ses forces. Il en aura bien besoin, car un mystérieux vilain (Hugo Weaving) cherche à détruire la planète. Face aux Superman et Batman de DC Comics, les personnages de Marvel ne faisaient pas le poids. Le grand écran leur a donné une seconde chance.
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/saïda mall, cinemacity, EMPIRE SODECO/GALAXY, planète abraj, CITY COMPLEX TRIPOLI, kaslik
Conan le barbare,
de Marcus Nispel
Avec Jason Momoa.
Petit avertissement avant d’aller voir Conan, alias Jason Momoa, aux biceps moins gonflés que son prédécesseur Schwarzenegger et au faux brushing négligé, mais à l’œil plus vif car se voulant sexy. Si vous aimez les poils, la sueur, les corps sales et pleins de suie, mais aussi les têtes tranchées, les corps coupés en deux, les coups de massue sur la tête et encore les hommes machos qui traitent les femmes comme un tas de m... et les femmes soumises à ce genre d’hommes. Si donc vous aimez cet univers glauque du temps des barbares (qui n’est peut-être plus très loin du nôtre), des razzias sur les villages, des flammes qui embrasent la terre, mais aussi du scénario faible (car vous savez, on ne parlait pas beaucoup à cette époque) allez voir Conan. Pour ce légendaire guerrier « cimmérien » qui a perdu ses parents dans des conditions horribles, ce qui avait commencé comme une vengeance personnelle va se muer en combat épique pour sauver Hyboria d’une puissance maléfique surnaturelle. Face à ses ennemis, aux terrifiantes créatures et aux épreuves d’exception qui l’attendent, Conan va peu à peu comprendre qu’il est l’ultime espoir d’un peuple...
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/saïda mall, cinemacity, planète abraj, kaslik
de Joe Johnston
Avec Chris Evans, Tommy Lee Jones et Hugo Weaving.
Depuis quelque temps, Hollywood a ouvert la voie royale à tous les comics et le 3D aidant a fait le reste. Ainsi une multitude d’adaptations de bandes dessinées, mettant en vedette les superhéros d’hier, déboulent à chaque saison sur grand écran. Si la recette est la même, beaucoup d’action, un peu d’humour, des effets spéciaux renversants et une 3D cosmétique, ainsi qu’une romance à l’eau de rose, une amitié virile, un méchant diabolique, certains réussissent mieux que d’autres.
Captain America : The First Avenger est le résultat d’un contrat bien rempli. Sur fond d’aventures d’Indiana Jones (avec incursions de personnages à la Star Wars) et de Seconde Guerre mondiale, un superhéros jadis jeune homme malingre et chétif va endosser l’habit de capitaine America et devenir Mr muscle, indispensable au peuple américain. En effet, Steve Rogers (Chris Evans) souhaite défendre les États-Unis au front. Sauf qu’il est trop frêle et sensible. Recruté par un scientifique (Stanley Tucci), entraîné par un colonel (Tommy Lee Jones), bénéficiant des conseils d’un inventeur (Dominic Cooper) et de l’attention particulière d’une jolie femme (Hayley Atwell), il accepte de recevoir un sérum qui décuplera ses forces. Il en aura bien besoin, car un mystérieux vilain (Hugo Weaving) cherche à détruire la planète. Face aux Superman et Batman de DC Comics, les personnages de Marvel ne faisaient pas le poids. Le grand écran leur a donné une seconde chance.
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/saïda mall, cinemacity, EMPIRE SODECO/GALAXY, planète abraj, CITY COMPLEX TRIPOLI, kaslik
Conan le barbare,
de Marcus Nispel
Avec Jason Momoa.
Petit avertissement avant d’aller voir Conan, alias Jason Momoa, aux biceps moins gonflés que son prédécesseur Schwarzenegger et au faux brushing négligé, mais à l’œil plus vif car se voulant sexy. Si vous aimez les poils, la sueur, les corps sales et pleins de suie, mais aussi les têtes tranchées, les corps coupés en deux, les coups de massue sur la tête et encore les hommes machos qui traitent les femmes comme un tas de m... et les femmes soumises à ce genre d’hommes. Si donc vous aimez cet univers glauque du temps des barbares (qui n’est peut-être plus très loin du nôtre), des razzias sur les villages, des flammes qui embrasent la terre, mais aussi du scénario faible (car vous savez, on ne parlait pas beaucoup à cette époque) allez voir Conan. Pour ce légendaire guerrier « cimmérien » qui a perdu ses parents dans des conditions horribles, ce qui avait commencé comme une vengeance personnelle va se muer en combat épique pour sauver Hyboria d’une puissance maléfique surnaturelle. Face à ses ennemis, aux terrifiantes créatures et aux épreuves d’exception qui l’attendent, Conan va peu à peu comprendre qu’il est l’ultime espoir d’un peuple...
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/saïda mall, cinemacity, planète abraj, kaslik
Captain America, de Joe JohnstonAvec Chris Evans, Tommy Lee Jones et Hugo Weaving.Depuis quelque temps, Hollywood a ouvert la voie royale à tous les comics et le 3D aidant a fait le reste. Ainsi une multitude d’adaptations de bandes dessinées, mettant en vedette les superhéros d’hier, déboulent à chaque saison sur grand écran. Si la recette est la même, beaucoup d’action, un peu...
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