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Nos Lecteurs ont la Parole

Les lecteurs ont voix au chapitre

Encore les deux-roues

 

Avant de penser former un gouvernement, modifier des lois, créer un État laïc, etc., il faudrait se pencher très sérieusement sur cette pègre que constituent ces horripilants jeunes hommes à mobylette.
Arrogants, insolents, impunis, ils se faufilent sans casque, au nez et à la barbe des policiers et des automobilistes, ignorant tous les feux et tous les sens interdits. Ils se permettent tout et tout leur est permis. Ils sont l'exemple vivant et omniprésent sous nos yeux qu'il n'existe aucun code de la route et, plus grave, que tout est permis dans notre république.
Comment construire un pays, comment encourager des citoyens jeunes et moins jeunes à respecter leur État et leur nation quand, dans leur quotidien le plus banal, c'est-à-dire le quotidien de la jungle de la route libanaise, certaines personnes (parfois le mot personne me paraît disproportionné pour cette espèce) se permettent tout ce qu'elles veulent et prennent l'avantage sur vous quoi qu'il advienne.

 

Myriam SHUMAN

À suivre

 

Ben Ali réfugié, Moubarak emprisonné, Kadhafi bombardé, Saleh largement contesté, Bahreïn divisé, Assad ébranlé, Mikati paralysé, Khamenei-Ahmadinejad opposés, Fateh et Hamas réconciliés, Netanyahu terrifié, Ben Laden assassiné, Hezbollah sans doute affolé (en tout cas je le serais, à sa place)...
Comme si quelqu'un là-haut avait actionné un ouragan de colère pour déclencher le désordre.
« Quand l'ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice », a écrit Romain Rolland.
Naïve ? Peut-être pour vous, mais j'y crois profondément. Dans la Bible, il est écrit : « Ne sème pas dans les sillons de l'injustice de peur de la moissonner au septuple. »

 

Diala EL-YAFI

Un, deux, trois... et plouf !

 

Il est vrai qu'il est difficile de verser des larmes sur la disparition d'Oussama Ben Laden. La joie et le soulagement ressentis surtout par la population des États-Unis d'Amérique est, certes, compréhensible, mais on ne peut que s'interroger sur l'urgence de balancer le corps à la mer, sans penser aux conséquences qu'un tel acte pourrait avoir sur une grande partie d'un monde musulman déjà témoin de profonds bouleversements.
Des raisons de pure logistique ont été données, de manière assez brève d'ailleurs. Se pourrait-il que ce soit tout simplement un geste désinvolte ? Ou bien des raisons cachées ont conduit à cette ultime nécessité ?

 

Dolly TALHAMÉ

Encore les deux-roues
 
Avant de penser former un gouvernement, modifier des lois, créer un État laïc, etc., il faudrait se pencher très sérieusement sur cette pègre que constituent ces horripilants jeunes hommes à mobylette.Arrogants, insolents, impunis, ils se faufilent sans casque, au nez et à la barbe des policiers et des automobilistes, ignorant tous les feux et tous les...

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