Finalement, on se demande si l'intuition peur être renforcée par des exercices. Reste à développer son raisonnement intuitif pour en tirer le maximum. On peut par exemple s'exercer avec des casse-tête et des tests de logique : déceler sans trop réfléchir l'intrus dans une liste de noms ou une série de chiffres, trouver la carte manquante dans une suite, ou encore disposer six crayons pour qu'ils soient tous en contact entre eux. On peut aussi s'entraîner sur des cas concrets au quotidien, d'abord dans des situations où les enjeux sont faibles. On peut ainsi prendre systématiquement le contre-pied de ce que dicte le raisonnement, pour peu que l'intuition n'aille pas dans le même sens. On pourra ensuite prendre des risques sur des questions plus importantes. Pour laisser le cerveau raisonner tout seul, il est préférable de ne pas se mettre sous pression. Mieux vaut prendre connaissance des données du problème et différer la décision à plus tard. L'intuition se présentera comme un flash à un moment inattendu. On aura ainsi la réponse, ou un début de réponse au problème. Attention toutefois à ne pas confondre intuition et désir. La suivre n'est pas forcément se faire plaisir. Ne prenez pas non plus la mauvaise décision envers et contre tout : si raisonnement et avis extérieur s'opposent systématiquement à votre ressenti, pesez bien le pour et le contre. Mais lorsqu'une certitude est vraiment ancrée au fond de vous, n'hésitez plus : foncez !
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Et si on faisait confiance à l’intuition ?
OLJ / le 04 mai 2011 à 23h35
Finalement, on se demande si l'intuition peur être renforcée par des exercices. Reste à développer son raisonnement intuitif pour en tirer le maximum. On peut par exemple s'exercer avec des casse-tête et des tests de logique : déceler sans trop réfléchir l'intrus dans une liste de noms ou une série de chiffres, trouver la carte manquante dans une suite, ou encore disposer six crayons pour qu'ils soient tous en contact entre eux. On peut aussi s'entraîner sur des cas concrets au quotidien, d'abord dans des situations où les enjeux sont faibles. On peut ainsi prendre systématiquement le contre-pied de ce que dicte le raisonnement, pour peu que l'intuition n'aille pas dans le même sens. On pourra ensuite prendre des risques sur des questions plus importantes. Pour laisser le cerveau raisonner tout seul, il est préférable de ne pas se mettre sous pression. Mieux vaut prendre connaissance des données du problème et différer la décision à plus tard. L'intuition se présentera comme un flash à un moment inattendu. On aura ainsi la réponse, ou un début de réponse au problème. Attention toutefois à ne pas confondre intuition et désir. La suivre n'est pas forcément se faire plaisir. Ne prenez pas non plus la mauvaise décision envers et contre tout : si raisonnement et avis extérieur s'opposent systématiquement à votre ressenti, pesez bien le pour et le contre. Mais lorsqu'une certitude est vraiment ancrée au fond de vous, n'hésitez plus : foncez !
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