C'est par le pillage de l'État au travers du déficit budgétaire, notamment grâce à ce régime siamois syro-libanais, que s'est produit l'assouvissement des convoitises les plus malsaines, car c'est là où « la jouissance devient crapuleuse » que tout naturellement, la richesse provenant du jeu de la spéculation cherche sa véritable satisfaction. Avec ce mode de gain, comme « source de jouissances », ce n'était plus autre chose que la résurrection du « vagabondage spéculatif » dans les rouages de l'État.
C'est par ce pillage que ces « vagabonds spéculateurs » étaient ainsi soustraits à tout contrôle de l'État et pillaient donc ce même État en l'endettant et en escroquant par ce fait le labeur et le travail du restant de la population.
Mais actuellement, « grâce » à la crise financière mondiale et à la forte diminution de toute les mannes, surtout la plus consistante et grasse d'entre elles, la libanaise, les Libanais auront une réelle opportunité d'espérer enfin une révolte syrienne, vu l'énorme manque à gagner subi.
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