Les lecteurs ont voix au chapitre

Criminels de guerre

 

Je voudrais évoquer la violence faite aux femmes, particulièrement en tant de guerre.
Au Congo, tous les jours des femmes et des petites filles sont violées sous les yeux de leur famille, parfois par plusieurs éléments armés du camp ennemi. Le viol systématique comme arme de guerre, de haine et de vengeance ! Et personne pour secourir, soutenir ces pauvres victimes ! La plupart des maris les quittent parce que, à leur yeux, elles sont souillées. Elles sont seules, lâchées dans un environnement hostile, sans aucun moyen de subsistance.
Il n'est plus permis aujourd'hui de rester indifférent face à ce qui se passe. Au nom des droits de l'homme, qui sont aussi ceux de la femme bien sûr, il importe de juger sévèrement ces criminels de guerre.

À l'intention de M. Gebran Bassil

La Commission de sécurité des consommateurs (CSC - France) met en garde les consommateurs contre les risques que comporte l'utilisation des ampoules électriques « basse consommation ». Les raisons ?
1. Ces ampoules émettent des ondes électromagnétiques et donc il est déconseillé de les utiliser comme lampes de chevet ou de bureau. La distance entre la lampe et l'utilisateur doit être supérieure à 30 centimètres.
2. Ces lampes contiennent du mercure sous forme gazeuse (substance toxique). Si l'ampoule vient à se briser, il faut immédiatement s'éloigner et aérer pendant 30 minutes la pièce puis prendre des précautions pour enlever les débris.
3. En Europe, on a créé un service de récupération des ampoules hors service dans les magasins. Ainsi, le mercure (poison toxique) ne finit pas dans la nature et ne vient pas mettre en danger la vie des éboueurs.
Conclusion : M. Bassil, avant de faire une campagne publicitaire de promotion pour les lampes à basse consommation, il faudrait avertir des dangers et prendre des mesures pour récupérer les lampes hors d'usage.