En effet, au début de l'audience, le juge Adel al-Saqer a donné lecture de l'acte d'accusation mais les six hommes, placés dans une cage métallique, ont crié leur innocence, disant avoir été torturés pendant les interrogatoires.
La seule femme du groupe, une Iranienne, n'était pas présente. Elle avait été libérée sans caution après son interpellation en attendant le procès.
Les accusations incluent la collecte et la transmission d'informations sur des installations militaires koweïtiennes à une nation étrangère.
L'avocat de la défense, Hassan al-Matrouk, a demandé un examen médical de ses clients pour déterminer s'ils ont été torturés lors des interrogatoires.
La cellule présumée avait été démantelée en mai et la presse koweïtienne avait alors affirmé qu'elle espionnait au profit des gardiens de la révolution, l'armée idéologique du régime iranien.
L'Iran a démenti tout lien avec les membres de la cellule présumée.
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