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Lancement dans les locaux du ministère de la Culture, en présence du ministre Sélim Wardy, de l'ouvrage d'Ibrahim al-Ariss , « Al-Soura al-Moultabasa », qui retrace en langue arabe l'historique du cinéma libanais et parcourt les grandes dates de ce septième art qui, aujourd'hui, est au tournant de son histoire.

« Ce projet est né à partir d'une conversation avec Omar Halablab, directeur général du ministère de la Culture, souligne Ibrahim al-Ariss. Mais il n'a pu voir le jour que grâce aux efforts conjugués de l'ancien ministre de la Culture Tammam Salam et de l'écrivain Layla Barakat, qui sont parvenus à l'insérer dans le cadre des travaux de "Beyrouth, capitale mondiale du livre". C'est grâce également à des critiques et journalistes que beaucoup de références et dates ont été si bien signalées », poursuit l'auteur dans son introduction.
C'est ainsi qu'aujourd'hui on peut découvrir en textes et images le long et difficile parcours de ce cinéma jeune, mais tellement prometteur.
Qui est Ibrahim al-Ariss ? Historien et critique de cinéma, ayant travaillé comme assistant de décor et de réalisation, Ibrahim al-Ariss poursuit des études d'audiovisuel à Londres et à Rome, pour se mettre par la suite à l'écriture et à la traduction des scénarios. Al-Ariss a également été rédacteur dans plusieurs journaux, notamment as-Safir et al-Dastour. Il a fondé d'autres revues culturelles, comme al-Massira et al-Makassed.
Cet homme, qui a baigné dans le septième art, a à son actif plusieurs études et ouvrages dans le domaine.
Dans Al-Soura al-Moultabassa (édité par Dar al-Nahda al-Arrabya), Ibrahim al-Ariss évoque les grandes lignes du cinéma libanais et brosse le portrait de ceux qui l'ont forgé. Avec pour dernier chapitre une filmographie contenant les cent titres qui ont contribué à faire ce cinéma libanais.
« Le cinéma libanais est à un tournant intéressant de sa vie, dit l'auteur. Après les premiers essais, les expérimentations et les années de guerre, il y a actuellement un réel potentiel pour enclencher la machine créatrice et donner à cet art son identité. »
« Ce projet est né à partir d'une conversation avec Omar Halablab, directeur général du ministère de la Culture, souligne Ibrahim al-Ariss. Mais il n'a pu voir le jour que grâce aux efforts conjugués de l'ancien ministre de la Culture Tammam Salam et de l'écrivain Layla Barakat, qui sont parvenus à l'insérer dans le...

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