À Noël, Cap-Ho a organisé une fête pour mettre une touche de couleurs dans le quotidien triste des enfants malades. Ci-contre, le père Noël au chevet d’une petite patiente.
L'étendue et l'impact de l'intervention du Comité d'aide pédiatrique pour les hôpitaux (Cap-Ho) dans le cadre de l'aide aux enfants malades défavorisés sont connus de tous. Les cas couverts par l'association sont innombrables et sont tous aussi poignants les uns que les autres. Nombreux sont ceux qui se rappellent du cas, largement médiatisé à l'époque, des quadruplés Chami nés prématurément en juillet 2003 et admis en urgence à l'hôpital Saint-Georges des grecs-orthodoxes pour un séjour de trois semaines en couveuse. Beaucoup d'autres cas, moins connus du public, ont été pris en charge par Cap-Ho, intervenu pour couvrir une partie, si ce n'est la totalité, des frais d'hospitalisation, se chiffrant souvent à plusieurs millions de livres libanaises.
Le nombre de cas, hospitalisés ou en externe, couverts par l'association chaque année n'a eu de cesse d'augmenter depuis sa création et s'élève aujourd'hui à plus de 200 cas par an.
Cap-Ho est né en 1995 de l'initiative de huit femmes volontaires pour qui, « il est tout simplement inconcevable, au XXIe siècle, de laisser des enfants mourir faute de moyens ». Le décès d'un enfant de Tripoli souffrant d'une déshydratation aux portes d'un hôpital de Beyrouth, celui-ci ayant refusé de l'accueillir, n'a fait que renforcer ce sentiment d'urgence, poussant les volontaires à concrétiser leur projet. Depuis, l'association vient en aide aux enfants jusqu'à l'âge de 15 ans, issus de familles défavorisées, toutes communautés confondues. Opérant sous l'égide de l'hôpital Saint-Georges des grecs-orthodoxes, les volontaires travaillent en étroite collaboration avec les services d'urgences, les pédiatres et la direction de l'hôpital, qui leur soumettent les dossiers d'enfants défavorisés. Ces dossiers sont ensuite étudiés minutieusement au cas par cas afin de donner la priorité aux familles les plus nécessiteuses, essentiellement celles qui ne bénéficient pas de la couverture de la Sécurité sociale.
Les donations des bienfaiteurs ainsi que les activités de collecte de fonds entreprises par le Comité lui permettent de prendre en charge des centaines de cas chaque année et de couvrir une partie ou la totalité des frais d'hospitalisation. Sachant qu' « un prématuré nécessite deux mois d'hospitalisation à raison de 10 000 à 12 000 dollars par séjour et qu'un enfant atteint de mucoviscidose se voit contraint à un traitement à vie de l'ordre de 400 dollars par semaine », cela vous donne une idée de l'ordre des montants couverts. Le budget consacré aux actions humanitaires entreprises par Cap-Ho est passé de 14 645 dollars en 1995 à 165 075 en 2003 et 127 000 en 2008.
En vue de pouvoir poursuivre son œuvre et subvenir aux besoins des enfants malades défavorisés, Cap-Ho donne sa soirée annuelle de collecte de fonds le jeudi 15 juillet, à partir de 20h30, à Pleine nature, à Mar Roukos.
Pour ceux qui le souhaitent, les donations peuvent être adressées à la Intercontinental Bank of Lebanon, compte n° : 02.000.330.020645.1.5.
Vous pouvez également contacter l'association aux 03/344190, 03/383816.
Le nombre de cas, hospitalisés ou en externe, couverts par l'association chaque année n'a eu de cesse d'augmenter depuis sa création et s'élève aujourd'hui à plus de 200 cas par an.
Cap-Ho est né en 1995 de l'initiative de huit femmes volontaires pour qui, « il est tout simplement inconcevable, au XXIe siècle, de laisser des enfants mourir faute de moyens ». Le décès d'un enfant de Tripoli souffrant d'une déshydratation aux portes d'un hôpital de Beyrouth, celui-ci ayant refusé de l'accueillir, n'a fait que renforcer ce sentiment d'urgence, poussant les volontaires à concrétiser leur projet. Depuis, l'association vient en aide aux enfants jusqu'à l'âge de 15 ans, issus de familles défavorisées, toutes communautés confondues. Opérant sous l'égide de l'hôpital Saint-Georges des grecs-orthodoxes, les volontaires travaillent en étroite collaboration avec les services d'urgences, les pédiatres et la direction de l'hôpital, qui leur soumettent les dossiers d'enfants défavorisés. Ces dossiers sont ensuite étudiés minutieusement au cas par cas afin de donner la priorité aux familles les plus nécessiteuses, essentiellement celles qui ne bénéficient pas de la couverture de la Sécurité sociale.
Les donations des bienfaiteurs ainsi que les activités de collecte de fonds entreprises par le Comité lui permettent de prendre en charge des centaines de cas chaque année et de couvrir une partie ou la totalité des frais d'hospitalisation. Sachant qu' « un prématuré nécessite deux mois d'hospitalisation à raison de 10 000 à 12 000 dollars par séjour et qu'un enfant atteint de mucoviscidose se voit contraint à un traitement à vie de l'ordre de 400 dollars par semaine », cela vous donne une idée de l'ordre des montants couverts. Le budget consacré aux actions humanitaires entreprises par Cap-Ho est passé de 14 645 dollars en 1995 à 165 075 en 2003 et 127 000 en 2008.
En vue de pouvoir poursuivre son œuvre et subvenir aux besoins des enfants malades défavorisés, Cap-Ho donne sa soirée annuelle de collecte de fonds le jeudi 15 juillet, à partir de 20h30, à Pleine nature, à Mar Roukos.
Pour ceux qui le souhaitent, les donations peuvent être adressées à la Intercontinental Bank of Lebanon, compte n° : 02.000.330.020645.1.5.
Vous pouvez également contacter l'association aux 03/344190, 03/383816.
L'étendue et l'impact de l'intervention du Comité d'aide pédiatrique pour les hôpitaux (Cap-Ho) dans le cadre de l'aide aux enfants malades défavorisés sont connus de tous. Les cas couverts par l'association sont innombrables et sont tous aussi poignants les uns que les autres. Nombreux sont ceux qui se rappellent du cas, largement médiatisé...
