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Lifestyle - Cinéma

"La fille qui rêvait d'un bidon d'essence", la saga Millenium de retour

Les fans de la trilogie culte Millenium pourront découvrir mercredi en salles "La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette", le film tiré du deuxième volet du best-seller international signé par le Suédois Stieg Larsson.

 

Au-delà de l'intrigue policière et de sa noirceur, la trilogie offre une peinture sans concession de la société moderne.

Le premier long métrage tiré de la trilogie, "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes" a eu cinq millions de spectateurs dans le monde, dont 1,2 million en France, a précisé son distributeur UGC.

Ce deuxième épisode d'un polar vendu à près de huit millions d'exemplaires dans le monde, est déjà sorti à l'automne 2009 dans les pays scandinaves, où les critiques avaient été mitigées, mais les salles pleines.

Il retrace la traque de l'héroïne, Lisbeth Salander (Noomi Rapace), une pirate informatique tourmentée, surdouée et rebelle poursuivie pour meurtres, et les efforts de son ami, le journaliste d'investigation Mikael Blomkvist (Michael Nyqvist), pour la disculper.

Une mémoire visuelle phénoménale et un ordinateur capable de pénétrer les secrets les mieux gardés sont les atouts de Lisbeth Salander. Elle ne croit ni en la justice ni en l'homme. Et encore moins en la justice des hommes.

Au-delà de l'intrigue policière et de sa noirceur, la trilogie offre une peinture sans concession de la société moderne, en abordant la mondialisation, les magouilles économiques, les notables pourris, la menace fasciste, le trafic de femmes, le monde psychiatrique.

En Suède les critiques qui avaient salué le premier film, ont été nettement moins enthousiastes cette fois. Si la performance de Noomi Rapace a été une nouvelle fois saluée, le quotidien Dagens Nyheter a relevé que "son charisme n'arrive pas à sauver un film régi par autant de clichés", tandis que son concurrent Svenska Dagbladet a estimé que les interprètes "donnent l'impression d'être acteurs pour se faire de l'argent de poche".

À l'origine, l'adaptation des trois livres était prévue pour la télévision.

En France, Canal+ a diffusé une série de six films de 90 minutes en mars.

L'auteur des romans, Stieg Larsson, est décédé fin 2004 d'une crise cardiaque peu après avoir remis ses manuscrits à la maison d'édition suédoise Norstedts, qui a publié le premier tome, "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes", en août 2005.

La dernière partie, "La reine dans le palais des courants d'air" sortira le 28 juillet en France.

Le premier long métrage tiré de la trilogie, "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes" a eu cinq millions de spectateurs dans le monde, dont 1,2 million en France, a précisé son distributeur UGC.
Ce deuxième épisode d'un polar vendu à près de huit millions d'exemplaires dans le monde, est déjà sorti à l'automne 2009...

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