Le journal syrien al-Watan a cité hier des sources (syriennes) « haut placées » qui, dans leur évaluation de la visite du Premier ministre Saad Hariri à Damas, ont souligné que « la Syrie veut établir une relation institutionnelle avec le gouvernement libanais », ajoutant que les visites prévues l'an prochain seront placées dorénavant sous cette même enseigne.
Ces mêmes sources assurent que pour ce qui est de la relation avec Hariri, Damas souhaite avoir les yeux tournés vers le futur, suivant le concept habituel qui veut que « l'immunité du Liban tienne de l'immunité de la Syrie ». Elles considèrent que l'accueil qui a été réservé à Hariri dans la capitale syrienne visait à paver la voie à une relation personnelle et officielle entre le Premier ministre libanais et les autorités syriennes, expliquant ainsi pourquoi le caractère officiel de la visite a été abandonné en faveur d'un accueil qui accordait la priorité « au dialogue et à la mise en confiance mutuelle ».
Ces mêmes sources assurent que pour ce qui est de la relation avec Hariri, Damas souhaite avoir les yeux tournés vers le futur, suivant le concept habituel qui veut que « l'immunité du Liban tienne de l'immunité de la Syrie ». Elles considèrent que l'accueil qui a été réservé à Hariri dans la capitale syrienne visait à paver la voie à une relation personnelle et officielle entre le Premier ministre libanais et les autorités syriennes, expliquant ainsi pourquoi le caractère officiel de la visite a été abandonné en faveur d'un accueil qui accordait la priorité « au dialogue et à la mise en confiance mutuelle ».
Le journal syrien al-Watan a cité hier des sources (syriennes) « haut placées » qui, dans leur évaluation de la visite du Premier ministre Saad Hariri à Damas, ont souligné que « la Syrie veut établir une relation institutionnelle avec le gouvernement libanais », ajoutant que les visites prévues l'an...