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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Le hall du palais ? Une giga-ruche...

Le hall du palais de Baabda s'est transformé jeudi midi en un immense réfectoire pour recevoir les quelque 400 personnalités féminines invitées à déjeuner par Wafa' Sleiman. Très chic en veste de dentelle grise et jupe de mousseline, la Première dame avait installé à sa table Rabab el-Sadr, Joyce Gemayel, Nayla Moawad, Mona Hraoui, Nadia Aoun et Leila Solh. Dans la salle, on pouvait également croiser Bahia Hariri, Mona Pharaon, Chadia Tuéni, May Arida, Andrée Daouk, Effat Kraidiyé, Sonia Racy, ainsi que moult épouses d'ambassadeurs. Composé d'une salade d'endives, d'un feuilleté au saumon et d'un baby gigot avec riz sauvage, le déjeuner n'a pas été arrosé de discours mais d'un savoureux « Comte de M. » made in Kefraya... et animé par Tania au keyboard et trois jeunes guitaristes (7 à 12 ans) du Conservatoire national qui ont stoïquement affronté une ruche bourdonnante. Féminin sacré et sacré féminin !

Brad Pitt peut aller se rhabiller

Il ne faut pas beaucoup pour exercer une ascendance sur un public féminin déjà passionné ! Alors que dire quand il s'agit d'un riche beau gosse à la tête du Sérail. Lors de son arrivée au Ball-Room de l'hôtel Phoenicia pour le dîner de gala de la Fondation May Chidiac, le Premier ministre Saad Hariri a dû vivre un moment de flottement que même Brad Pitt, au mieux de sa forme, n'aurait pas pensé supporter : une vague, non un tsunami d'hommes et de femmes, s'est jetée sur sa table dans une épique bousculade. Le but ? Manifester leur affection et leur soutien en le touchant, en l'embrassant et en centuplant les hugs. « Plus craquant que jamais », s'exclame, toute frétillante, une invitée. May Chidiac n'avait d'autre choix que de patienter avant de prononcer son discours devant un parterre de plusieurs centaines d'invités, notamment les éternels lovers Samir et Sethrida Geagea parée de diamants et de rubis, Farid Makari, Tarek Mitri, Nayla Moawad, Marwan Hamadé, Boutros Harb, Ahmad Fatfat, Ghazi Aridi, Solange Gemayel, les ambassadeurs d'Italie, de Grande-Bretagne et de France, cheikh Pierre el-Daher, Gisèle Khoury Kassir, etc. Pour faire court, le dîner a réuni un panel socio-politico-économique des plus larges... Walid Joumblatt et Raymond Audi, qui étaient aux abonnés absents, ont donc raté les témoignages dithyrambiques, retransmis sur grands écrans, du sous-secrétaire d'État américain aux Affaires du Proche-Orient et ancien ambassadeur US au Liban Jeffrey Feltmann, du reporter de CNN Brent Sadler et du PDG de la LBC. Puis le chef des Forces libanaises est passé à l'acte : non pas pour sortir de son chapeau un grand débat sur notre identité nationale, mais pour frapper au sol ses pas et marquer ce moment festif d'une « dabké » traditionnelle.

La Tate Gallery juste pour un mariage...

C'est dans le cadre ultrachicissime de la Tate Gallery, à Millbank, Londres, un lieu qui abrite les œuvres des plus célèbres artistes britanniques, que la ravissante Yasmina, fille du richissime homme d'affaires Taymour Ali Reda, et Charaf, fils du mythique ministre saoudien du Pétrole Zaki Yammani, ont célébré leur mariage entourés d'une centaine de parents et amis, notamment Malika Myassar, Naguiba... Antoine et Janine Maamari, Maurice et Clary Saba, Danièle Trad, Roby et Tania Arab, Akef et Nada Moghrabi, Karim et Leila Fawaz. La fête, qui incluait une visite privée de l'exposition William Turner, a continué le lendemain soir à East-End dans l'ancien marché aux poissons où élégance et poésie étaient également au rendez-vous. Sur le thème « Automne », les lieux, pavoisés aux couleurs feu de branchages et de feuillages, de fleurs et de fruits jaune doré et rouge ocre, déclinaient de véritables tableaux de natures mortes et deux grands écrans projetaient les photos des mariés avec des séquences de feuilles d'arbres qui virevoltaient par myriades dans la salle. Avec leur féroce appétit de s'amuser, les convives n'ont pas tardé à tournoyer eux aussi au son de deux orchestres qui ont secoué la sublime baraque jusqu'au petit matin.

Ça y est, ça commence !

Quoi voir ? Où aller ? Vous avez l'embarras du choix avec tous les exposants qui se bousculent en ce début de fin d'année. On ne sait plus où donner de la tête : on a envie de tout voir, tout acheter. La carte bleue va fondre à vue d'œil ce mois... Demain mercredi commence la valse entre la rue Sélim Bustros où Nada Talhamé donne à voir sa collection de bijoux chic et rock, la galerie Janine Rubeiz où exposent Huguette Caland et Virginie Corm ; le musée de l'AUB qui ouvre grandes les portes de sa boutique bien achalandée grâce à Jacqueline Ayoub, May Abou Adal et Nanou Wardé. Jeudi, à la villa Linda Sursock, Missak Hajiavedkian fait défiler ses robes à 19 heures. Vendredi et samedi, le Hangar de Denise (centre Ivoire, Horch Tabet) se reconvertit en un big store pour Retro et CO. Vintage. Mieux que les flonflons du bal.

« Thalassa » libanais

Vendredi 11 décembre à 20h30, on se visse devant son écran : Thalassa, le magazine de la mer diffusé sur France 3, présente une émission spéciale consacrée au Liban, à travers trois reportages : la construction du bateau phénicien à Tyr ; la vie dans le no man's land du Liban-Sud et une plongée à 62 mètres de profondeur au large de Tripoli pour découvrir, avec Patrick Francis et un robot équipé d'une caméra HD, le bateau anglais qui avait fait naufrage en 1875... Georges Pernoux avait prévu de présenter l'émission à partir de Beyrouth. Mais selon le coordinateur de Thalassa Francis Bianconi, Pernoux sera mobilisé à Copenhague pour le sommet sur le changement climatique. On ne peut pas être partout.

Problème de poissons...

Myriam Fayçal « désapprouve totalement » ce qui a été écrit le 24 novembre dans ces colonnes : « On se serait cru un moment au marché aux poissons ! » Elle dit : « Bien au contraire, je pense que les habitants de Bahreïn sont des gens très éduqués et très raffinés. Je suis ravie d'avoir participé au Salon international de la joaillerie qui est de grande qualité. » Personne n'a dit le contraire...

 

ditavonbliss@hotmail.com

Le hall du palais ? Une giga-ruche... Le hall du palais de Baabda s'est transformé jeudi midi en un immense réfectoire pour recevoir les quelque 400 personnalités féminines invitées à déjeuner par Wafa' Sleiman. Très chic en veste de dentelle grise et jupe de mousseline, la Première dame avait installé à sa table...
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