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Sport - Trois questions à...

Seriba : « Tout se met tranquillement en place »

Dès son arrivée à Beyrouth, où aura lieu la sixième édition des Jeux de la francophonie, le directeur du Comité international des Jeux de la francophonie, M. Mahaman Lawan Seriba (Niger), a décidé de tempérer et de rassurer : Tout se déroule très bien dans l'organisation des Jeux, et cela conformément aux normes internationales.
À cinq jours du coup d'envoi, L'Orient-Le Jour a fait le point sur les préparatifs.

Q- Pouvez-vous nous dire comment se déroulent les préparatifs ?
R- Je ne suis arrivé à Beyrouth que depuis quelques jours, mais j'ai déjà eu le temps de faire un tour des sites sur lesquels auront lieu les compétitions, mais aussi l'hébergement des athlètes et artistes (la Cité sportive, le campus de l'Université libanaise, le stade Michel el-Murr, etc.). Et je peux sereinement affirmer que tout se met tranquillement en place. Il faut dire que tous les sites doivent être conformes aux normes internationales - ce qui a été le cas pour le moment -, et cela prend du temps.
Mais tout se passe très bien.

Q- Sept épreuves (dont une de démonstration) sont sur la liste des sports des Jeux de la francophonie. Pourquoi avoir choisi le football pour hommes, le tennis de table, le judo, l'athlétisme, la boxe, le basket-ball pour dames et le volley-ball ?
R- Au Comité international des Jeux de la francophonie, nous avons décidé que ces Jeux seront des Jeux contenus. C'est-à-dire pas de gigantisme.
Cet événement regroupe et rassemble des pays du Nord comme du Sud. Et ces mêmes Jeux sont organisés en alternance entre pays du Sud et pays du Nord. C'est donc pour cela que ces sept sports ont été sélectionnés : ils ne requièrent pas trop de matériel ni de logistique, que ce soit pour le sportif ou pour le pays organisateur, et en même temps, ils sont relativement à la portée de tous les athlètes francophones...

Q- Finalement, entre les premiers Jeux qui ont eu lieu au Maroc en 1989, et la sixième édition au Liban, quelles sont les plus grandes évolutions et différences que vous constatez ?
R- Les différences sont tout simplement énormes. Il faut dire qu'après chaque événement, nous tentons de tirer des conclusions constructives afin d'améliorer la logistique et le côté technique de la prochaine édition.
Pour ne citer que quelques différences, je dirais que les nations rassemblent désormais de meilleures sélections et que l'organisation des Jeux est à présent parfaite, comme c'est le cas au Liban.
Finalement, la grosse médiatisation est un point fort qui n'existait pas lors des éditions précédentes : nous aurons à Beyrouth près de 60 heures de diffusion sur les canaux internationaux que sont TV5, Future TV, MTV, AfricaCable, etc. Une première...

Dès son arrivée à Beyrouth, où aura lieu la sixième édition des Jeux de la francophonie, le directeur du Comité international des Jeux de la francophonie, M. Mahaman Lawan Seriba (Niger), a décidé de tempérer et de rassurer : Tout se déroule très bien dans l'organisation des Jeux, et cela conformément...
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