Le représentant personnel de Ban Ki-moon pour le suivi de la résolution 1559 de l'ONU, Terjé Roed-Larsen, a écarté tout éventuel retrait israélien de Ghajar-Nord avant que le gouvernement Netanyahu ne soit concrètement lancé et avant que le Premier ministre israélien ne se rende à Washington pour s'y entretenir avec le président Obama, notamment de l'opération de paix israélo-arabe. Sachant, il faut le signaler, que des promesses en ce sens de la part d'anciens responsables gouvernementaux israéliens et des autorités militaires concernées étaient parvenues au commandement de la Finul après que la force onusienne eut assuré qu'elle y ferait déployer des soldats.
Un haut responsable occidental, qui participait aux travaux du sommet arabo-latino-américain à Doha, estime nécessaire l'envoi d'une délégation arabe de gros calibre à Washington pour informer concrètement le président US de la position arabe. Celle-ci exige le retrait israélien de l'ensemble des terres occupées en vertu de l'initiative arabe de paix adoptée à l'unanimité lors du sommet de Beyrouth en 2002. À ce sujet, les Arabes ont demandé la mise en place d'un calendrier très précis que l'État hébreu devrait respecter s'il voulait réellement donner une chance à cette initiative.
Sauf que la Syrie a un avis assez divergent sur ce plan, proposé il y a sept ans par l'actuel roi d'Arabie saoudite. « Il est inefficace, et même si nous œuvrons pour le rendre efficace, il est incomplet », a dit le président syrien Bachar el-Assad. Il n'en reste pas moins que cette initiative reste la seule alternative à ce jour ; on n'en prépare d'ailleurs aucune autre au cas où Israël la rejetait, qu'il exigeait qu'elle soit amendée d'une façon ou d'une autre...
Un haut responsable occidental, qui participait aux travaux du sommet arabo-latino-américain à Doha, estime nécessaire l'envoi d'une délégation arabe de gros calibre à Washington pour informer concrètement le président US de la position arabe. Celle-ci exige le retrait israélien de l'ensemble des terres occupées en vertu de l'initiative arabe de paix adoptée à l'unanimité lors du sommet de Beyrouth en 2002. À ce sujet, les Arabes ont demandé la mise en place d'un calendrier très précis que l'État hébreu devrait respecter s'il voulait réellement donner une chance à cette initiative.
Sauf que la Syrie a un avis assez divergent sur ce plan, proposé il y a sept ans par l'actuel roi d'Arabie saoudite. « Il est inefficace, et même si nous œuvrons pour le rendre efficace, il est incomplet », a dit le président syrien Bachar el-Assad. Il n'en reste pas moins que cette initiative reste la seule alternative à ce jour ; on n'en prépare d'ailleurs aucune autre au cas où Israël la rejetait, qu'il exigeait qu'elle soit amendée d'une façon ou d'une autre...
Le représentant personnel de Ban Ki-moon pour le suivi de la résolution 1559 de l'ONU, Terjé Roed-Larsen, a écarté tout éventuel retrait israélien de Ghajar-Nord avant que le gouvernement Netanyahu ne soit concrètement lancé et avant que le Premier ministre israélien ne se rende à Washington pour s'y entretenir avec le...