Michel Sleiman-Carla Bruni : la conversation...
Outre la délégation libanaise, un nombre de ministres français, et l'ambassadeur de France au Liban André Parant et son épouse Maya, ravissante dans sa robe signée Rabih Keyrouz, deux cent quarante personnes étaient invitées au somptueux dîner offert à l'Élysée par Nicolas et Carla Sarkozy en l'honneur de Michel et Wafa' Sleiman. Parmi les tickets gagnants, l'ancien Premier ministre Nagib Mikati, Charles et Nayla Rizk, Farid et Elham Raphaël, Georges Corm, et, à la droite de Bernard Kouchner, Nazek Hariri. Voisins de Valéry Hortefeux, à la grande table en forme de U qui accueillait tout ce beau monde, le musicien oscarisé Gabriel Yared, qui se produira cet été à Beiteddine, et le PDG de la MEA, Mohammad el-Hout, ont été mitraillés de photos. Également présents, François Bassil, Nayla de Freige, Amin et Andrée Maalouf, Jacques Saadé et sa fille Tania, Adnane Kassar et son épouse, la toute « Caramel » Nadine Labaki et son mari Khaled Mouzannar près de Claude Guéant, cheikh Billy el-Khoury, Basile et Norma Yared, Élie Saab. Amchite, village natal du président de la République, était également représenté en force par Chadi Karam et sa femme, et Marwan Lahoud. Parmi les journalistes, Nahida Nakad (TF1) et la directrice du bureau d'al-Hayat, à Paris, Randa Takieddine, qui, le lendemain, à la conférence de presse donnée par Michel Sleiman, s'est retenue pour ne pas poser la question qui la démangeait : En grande conversation tout le long du dîner à l'Élysée, de quoi ont parlé le président libanais et Carla Sarkozy ? Faute d'audace, on n'en saura rien !
Pas de dolce vita... sans « gelateria »
Pied de nez à la crise mondiale. Mercredi soir, au milieu d'un ballet de plateaux de vin et de bouchées, et en présence du P. M. Fouad Siniora, des ministres Tarek Mitri et Raymond Audi, du Tout-Beyrouth, « people » et « fashionistas », Jacques et Nicole Sarraf, partenaires du groupe italien Burani, ont inauguré leurs quatre boutiques de mode au centre-ville, rue Beyhum : Miss Sixty, Mariella Burani (vêtements), Sebastian (chaussures), Secret Pon-Pon (sacs) et, pour savourer une bonne glace artisanale, la gelateria « Chocolat Milano ». Pas de break non plus le lendemain. Entourés de leurs amies Hoda Siniora, Mona Hraoui, Solange Gemayel, Jako Ayoub, Hoda Sinno, Rima Kronfol, Hanane Cheikh el-Ard et tant d'autres, les Sarraf organisaient, à l'hôtel Phoenicia, un défilé - tout en rêve, fantaisie, et créativité - de la prima linea Burani, suivi d'un dîner à l'Eau de Vie. La « vita è bella » à Beyrouth.
Joseph Achkar, Michel Charrier et Louis XV...
À Paris, dans leur hôtel particulier de Gesvres, où les salons en enfilade étaient illuminés de centaines de bougies, l'antiquaire décorateur Joseph Achkar et Michel Charrier ont reçu à dîner toutes les rédactions européennes d'Architecture Digest et les grands pontes de l'ameublement intérieur parmi lesquels Manuel Canovas, Franck Guzetta (président de Ralph Lauren Home), François Roche (Roche Bobois), Pascal Mussard (Hermès), Chahan Minassian, Arnaud Brunel (Tectona), mais aussi le philosophe et essayiste Peter Osborne et Élisabeth Delaware (galerie Avant-Scène). Les invités se sont dit éblouis par le faste de cette résidence datant du XVIIIe siècle, dont la boiserie, restaurée avec le souci du détail et de la vérité historique, avait été réalisée par les frères Dennebecq... les menuisiers de Louis XV ! Rien de moins.
À vos aiguilles, mesdames et... messieurs
Il va falloir vite dégainer les aiguilles, car le concours du plus beau tricot lancé par Yldiz Diab (alias Y.Knot, rue Saïfi) est fixé au 25 juin et les membres du jury, Rabih Keyrouz, Nada Debs (designer), Mona Bassili Sehnaoui (peintre) et Hadia Sinno (Fashion, Future TV), sont chargés de décerner les prix. Ce loisir créatif, furieusement tendance de Los Angeles à New York où fleurissent les « Knit » Café, a déboulé en Europe puis à Beyrouth. Et les chercheurs de la Harvard Medical School lui reconnaissent des vertus thérapeutiques ( la « Knitting Therapy »). Ils l'ont affirmé dans une « very serious » publication (Natural Living Today Magazine). Donc on s'y (re)met ? Surtout que le concours est largement ouvert aux... hommes. Bien sûr.
La vie de château n'est plus ce qu'elle était...
Alors que dans son bureau, Tony Esseily sort des règles à calcul, en jeans et bottes caoutchouc, maniant la tronçonneuse ou fendant les 15 hectares de son exploitation viticole à bord de son tracteur, Youmna travaille aux côtés des experts œnologues pour faire grimper en flèche la côte du « Châteaubiac ». On l'aura compris, à Saint-Émilion, installés dans une bâtisse du XVIIIe, les Esseily ne jouent pas aux châtelains. Chez eux, on ne croise pas de nobliaux satisfaits ou Vieille France étouffant sous les dentelles, mais plutôt les riches clients de Dassault ; le petit-fils de Louis Delage pilotant à coups d'accélérateur un cylindré haut de gamme des années 1920, ou encore le chef du prestigieux Bellagio de Las Vegas, qui, comme Proust savourant sa galette, est tout « chose » devant les feuilles de vigne farcies à la libanaise. Richard Esber, né aux USA de parents syriens, n'avait plus savouré ce plat depuis le décès de sa grand-mère, il y a des lustres.
Toujours à Saint-Émilion, c'est une Française d'origine libanaise qui est aux commandes du Plaisance. Ex-employée de l'hôtel Phoenicia, elle avait épousé l'ancien cuisinier français du Paon rouge, avant de venir, au début de la guerre, s'installer dans la région et investir dans un petit établissement, à 35 minutes de l'aéroport de Bordeaux... et bingo ! L'Hostellerie de Plaisance est aujourd'hui un hôtel de luxe quatre étoiles doté d'un restaurant gastronomique. Vivement recommandé par la « globe-trotter » Hiba Alamuddine.
Outre la délégation libanaise, un nombre de ministres français, et l'ambassadeur de France au Liban André Parant et son épouse Maya, ravissante dans sa robe signée Rabih Keyrouz, deux cent quarante personnes étaient invitées au somptueux dîner offert à l'Élysée par Nicolas et Carla Sarkozy en l'honneur de Michel et Wafa' Sleiman. Parmi les tickets gagnants, l'ancien Premier ministre Nagib Mikati, Charles et Nayla Rizk, Farid et Elham Raphaël, Georges Corm, et, à la droite de Bernard Kouchner, Nazek Hariri. Voisins de Valéry Hortefeux, à la grande table en forme de U qui accueillait tout ce beau monde, le musicien oscarisé Gabriel Yared, qui se produira cet été à Beiteddine, et le PDG de la MEA, Mohammad el-Hout, ont été mitraillés de photos. Également présents, François Bassil, Nayla de Freige, Amin et Andrée Maalouf, Jacques Saadé et sa fille Tania, Adnane Kassar et son épouse, la toute « Caramel » Nadine Labaki et son mari Khaled Mouzannar près de Claude Guéant, cheikh Billy el-Khoury, Basile et Norma Yared, Élie Saab. Amchite, village natal du président de la République, était également représenté en force par Chadi Karam et sa femme, et Marwan Lahoud. Parmi les journalistes, Nahida Nakad (TF1) et la directrice du bureau d'al-Hayat, à Paris, Randa Takieddine, qui, le lendemain, à la conférence de presse donnée par Michel Sleiman, s'est retenue pour ne pas poser la question qui la démangeait : En grande conversation tout le long du dîner à l'Élysée, de quoi ont parlé le président libanais et Carla Sarkozy ? Faute d'audace, on n'en saura rien !
Pas de dolce vita... sans « gelateria »
Pied de nez à la crise mondiale. Mercredi soir, au milieu d'un ballet de plateaux de vin et de bouchées, et en présence du P. M. Fouad Siniora, des ministres Tarek Mitri et Raymond Audi, du Tout-Beyrouth, « people » et « fashionistas », Jacques et Nicole Sarraf, partenaires du groupe italien Burani, ont inauguré leurs quatre boutiques de mode au centre-ville, rue Beyhum : Miss Sixty, Mariella Burani (vêtements), Sebastian (chaussures), Secret Pon-Pon (sacs) et, pour savourer une bonne glace artisanale, la gelateria « Chocolat Milano ». Pas de break non plus le lendemain. Entourés de leurs amies Hoda Siniora, Mona Hraoui, Solange Gemayel, Jako Ayoub, Hoda Sinno, Rima Kronfol, Hanane Cheikh el-Ard et tant d'autres, les Sarraf organisaient, à l'hôtel Phoenicia, un défilé - tout en rêve, fantaisie, et créativité - de la prima linea Burani, suivi d'un dîner à l'Eau de Vie. La « vita è bella » à Beyrouth.
Joseph Achkar, Michel Charrier et Louis XV...
À Paris, dans leur hôtel particulier de Gesvres, où les salons en enfilade étaient illuminés de centaines de bougies, l'antiquaire décorateur Joseph Achkar et Michel Charrier ont reçu à dîner toutes les rédactions européennes d'Architecture Digest et les grands pontes de l'ameublement intérieur parmi lesquels Manuel Canovas, Franck Guzetta (président de Ralph Lauren Home), François Roche (Roche Bobois), Pascal Mussard (Hermès), Chahan Minassian, Arnaud Brunel (Tectona), mais aussi le philosophe et essayiste Peter Osborne et Élisabeth Delaware (galerie Avant-Scène). Les invités se sont dit éblouis par le faste de cette résidence datant du XVIIIe siècle, dont la boiserie, restaurée avec le souci du détail et de la vérité historique, avait été réalisée par les frères Dennebecq... les menuisiers de Louis XV ! Rien de moins.
À vos aiguilles, mesdames et... messieurs
Il va falloir vite dégainer les aiguilles, car le concours du plus beau tricot lancé par Yldiz Diab (alias Y.Knot, rue Saïfi) est fixé au 25 juin et les membres du jury, Rabih Keyrouz, Nada Debs (designer), Mona Bassili Sehnaoui (peintre) et Hadia Sinno (Fashion, Future TV), sont chargés de décerner les prix. Ce loisir créatif, furieusement tendance de Los Angeles à New York où fleurissent les « Knit » Café, a déboulé en Europe puis à Beyrouth. Et les chercheurs de la Harvard Medical School lui reconnaissent des vertus thérapeutiques ( la « Knitting Therapy »). Ils l'ont affirmé dans une « very serious » publication (Natural Living Today Magazine). Donc on s'y (re)met ? Surtout que le concours est largement ouvert aux... hommes. Bien sûr.
La vie de château n'est plus ce qu'elle était...
Alors que dans son bureau, Tony Esseily sort des règles à calcul, en jeans et bottes caoutchouc, maniant la tronçonneuse ou fendant les 15 hectares de son exploitation viticole à bord de son tracteur, Youmna travaille aux côtés des experts œnologues pour faire grimper en flèche la côte du « Châteaubiac ». On l'aura compris, à Saint-Émilion, installés dans une bâtisse du XVIIIe, les Esseily ne jouent pas aux châtelains. Chez eux, on ne croise pas de nobliaux satisfaits ou Vieille France étouffant sous les dentelles, mais plutôt les riches clients de Dassault ; le petit-fils de Louis Delage pilotant à coups d'accélérateur un cylindré haut de gamme des années 1920, ou encore le chef du prestigieux Bellagio de Las Vegas, qui, comme Proust savourant sa galette, est tout « chose » devant les feuilles de vigne farcies à la libanaise. Richard Esber, né aux USA de parents syriens, n'avait plus savouré ce plat depuis le décès de sa grand-mère, il y a des lustres.
Toujours à Saint-Émilion, c'est une Française d'origine libanaise qui est aux commandes du Plaisance. Ex-employée de l'hôtel Phoenicia, elle avait épousé l'ancien cuisinier français du Paon rouge, avant de venir, au début de la guerre, s'installer dans la région et investir dans un petit établissement, à 35 minutes de l'aéroport de Bordeaux... et bingo ! L'Hostellerie de Plaisance est aujourd'hui un hôtel de luxe quatre étoiles doté d'un restaurant gastronomique. Vivement recommandé par la « globe-trotter » Hiba Alamuddine.
Michel Sleiman-Carla Bruni : la conversation... Outre la délégation libanaise, un nombre de ministres français, et l'ambassadeur de France au Liban André Parant et son épouse Maya, ravissante dans sa robe signée Rabih Keyrouz, deux cent quarante personnes étaient invitées au somptueux dîner offert à l'Élysée...
