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ÉVÉNEMENT Aïshti et Cartier célèbrent L’orchidée au «Phoenicia»

Après la période démocratique des « Must » lancée en 1973 par Alain Dominique Perrin, les années 2000 s’annoncent pour Cartier sous le signe du bijou d’exception. Inaugurée en grande pompe, l’adresse mythique du joaillier à Paris, rue de la Paix, s’est offert un nouveau décor permettant de réunir ateliers, administration et showroom en vue d’un service de plus en plus personnalisé. En effet, les marchés émergents ont permis l’apparition d’une clientèle de plus en plus exigeante et fortunée, qui a donné à la joaillerie une nouvelle impulsion. Selon l’International Herald Tribune, ce sont désormais des femmes qui s’offrent des bijoux d’une valeur pouvant atteindre les 80000 euros. Au-delà de ce chiffre, le bijou est affaire de couple qui vient ainsi sceller un serment d’amour. N’attendant que cette impulsion pour donner à sa créativité tout son élan, Cartier a créé l’éblouissante « Caresse d’orchidée », une ligne hommage à cette fleur précieuse entre toutes. Faisant écho au lancement majestueux qui a eu lieu au jardin des Tuileries, sous une tente écarlate où des valets en livrée ont accueilli les invités à la lueur des lanternes, Aïshti a organisé une soirée exceptionnelle au ballroom du Phoenicia. Propriétaire de la franchise Cartier pour le Liban, Tony Salamé n’a pas lésiné sur les effets. Tapis rouge et crépitement de flashes pour un accueil à la hauteur de l’événement ont surpris les invités à l’arrivée. Ornée d’orchidées en buissons, l’entrée de la salle mettait en scène les bijoux dans un enchevêtrement savant du végétal et du minéral. La nature et l’art rivalisaient de beauté, créant pour un soir un dépaysement total, bien loin de la morosité ambiante. Concocté par le service de restauration du Phoenicia, sous les recommandations de M. Rousseau, nouveau chef des restaurants Aïshti, le repas était présenté dans une ambiance nimbée de lumière rose. D’immenses panneaux représentant des orchidées ornaient la salle. Tania Assaf offrait de sa voix émouvante les plus belles chansons d’amour sur la musique d’Alain Manoukian, tandis que cinq mannequins sublimes présentaient les bijoux en évoluant parmi les invités avant de gagner le podium. Ne laissant jamais passer une occasion de saluer la coopération franco-libanaise, l’ambassadeur de France, SE M. Bernard Émié, a pris la parole pour féliciter Tony Salamé et Patrick Normand, directeur régional de Cartier pour le Moyen-Orient, de leur courageuse et belle initiative. Ainsi caressés par les orchidées dans leurs atours les plus somptueux, les invités ont eu le privilège de repartir sur un nuage rose offert par Cartier, marchand de rêve.
Après la période démocratique des « Must » lancée en 1973 par Alain Dominique Perrin, les années 2000 s’annoncent pour Cartier sous le signe du bijou d’exception. Inaugurée en grande pompe, l’adresse mythique du joaillier à Paris, rue de la Paix, s’est offert un nouveau décor permettant de réunir ateliers, administration et showroom en vue d’un service de plus en plus...