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Actualités - OPINION

En gros plan Deux contre-exemples

Il est vrai que bien des films de qualité parviennent jusqu’à nos écrans – voir A History of Violence et Broken Flowers, entre autres. Mais il en est d’autres, non moins intéressants, dont on se demande (tout en connaissant la réponse !) pourquoi ils restent invisibles au Liban. Prenons le cas Woody Allen, un nom pas très « grand public » chez nous, il est vrai. Ses derniers films – Melinda and Melinda y compris – nous parvenaient régulièrement : ils n’étaient pourtant pas toujours fameux. Or le plus récent, Match Point, de l’avis général une réussite et aussi un succès, ne trouve pas de distributeur libanais. Côté cinéma français, pourquoi n’avoir pas inscrit La marche de l’empereur, le déjà célèbre film d’animation de Luc Jacquet, au programme de la Semaine du cinéma européen ? D’autant que la publicité internationale du film – qui triomphe partout – est assurée très efficacement. Ainsi, des distributeurs libanais auraient pu s’intéresser à la distribution locale (et régionale) de March of the Penguins. Mais, encore une fois, ainsi vont les choses. J.-P. GOUX-PELLETAN

Il est vrai que bien des films de qualité parviennent jusqu’à nos écrans – voir A History of Violence et Broken Flowers, entre autres. Mais il en est d’autres, non moins intéressants, dont on se demande (tout en connaissant la réponse !) pourquoi ils restent invisibles au Liban.
Prenons le cas Woody Allen, un nom pas très « grand public » chez nous, il est vrai. Ses derniers...