Des acryliques sont exposées dans le local de l’ADG jusqu’au 13 décembre. Couleurs fortes et vives pour certaines et plus sombres pour d’autres, elles reflètent la diversité dans le travail de l’architecte Jean Lahoud.
Diplômé d’architecture de l’USEK en 1982, Lahoud quitte le Liban et s’installe de 1987 à 1993 en Équateur.
D’Amérique latine, il ramène une palette de couleurs intenses et gaies qu’il reproduit sur toiles, sur cartons ou autres supports.
Ne pas représenter le réel mais le recréer, tel est son principe. Il va s’articuler autour d’un figuratif abstrait, s’exprimant dans une série de personnages dépeints, à une abstraction quasi totale où l’artiste redéfinit à sa manière le cosmos. Un travail qui se veut, au fil des ans, différent, plus intériorisé.
« L’espace a été envahi, souligne Jean Lahoud, et l’homme y a laissé des traces. Quant à moi, j’essaye d’apporter ma propre vision des choses. »
À travers ces trous noirs, où débris et projectiles sont happés à toute vitesse, les satellites aux spirales lunaires ou les objets en trois dimensions, l’artiste tourne le dos à une période claire et livre en teintes obscures l’état des lieux d’un espace encore impénétrable.
C. K.
Des acryliques sont exposées dans le local de l’ADG jusqu’au 13 décembre. Couleurs fortes et vives pour certaines et plus sombres pour d’autres, elles reflètent la diversité dans le travail de l’architecte Jean Lahoud.
Diplômé d’architecture de l’USEK en 1982, Lahoud quitte le Liban et s’installe de 1987 à 1993 en Équateur.
D’Amérique latine, il ramène une palette de...
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