Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Londres signe un accord avec Tripoli pour expulser des indésirables

Les représentants libyens et britanniques ont signé à Tripoli un accord semblable à celui du 10 août dernier entre Londres et Amman, avec comme objectif pour le ministre de l’Intérieur Charles Clarke de persuader la justice britannique que des étrangers expulsés de Grande-Bretagne ne risqueront pas d’être torturés s’ils sont renvoyés dans leur pays. Après les attentats de Londres du 7 juillet qui avaient fait 56 morts, le Premier ministre Tony Blair avait annoncé un changement des « règles du jeu ». Et outre les étrangers soupçonnés de terrorisme, il avait clairement visé les « prêcheurs de haine », ces imams ou militants radicaux vivant dans la capitale anglaise. Pour de nombreux juristes, comme pour les associations de défense des droits de l’homme, les accords signés par Londres avec des pays comme la Jordanie et la Libye n’auraient aucune valeur.
Les représentants libyens et britanniques ont signé à Tripoli un accord semblable à celui du 10 août dernier entre Londres et Amman, avec comme objectif pour le ministre de l’Intérieur Charles Clarke de persuader la justice britannique que des étrangers expulsés de Grande-Bretagne ne risqueront pas d’être torturés s’ils sont renvoyés dans leur pays.
Après les attentats de...