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Actualités - CHRONOLOGIE

Football - Le tirage au sort du premier tour a été effectué hier en Suisse Poules relevées mais abordables pour les clubs français en Coupe de l’UEFA

Les cinq équipes françaises engagées dans la phase de poules de la Coupe de l’UEFA, certaines de ne pas de tomber sur des terreurs tant la Ligue des champions aspire tous les plus grands, ont hérité de groupes relevés mais a priori abordables à l’issue du tirage au sort, hier. De Marseille (gr. F), qui se frottera en Russie au CSKA Moscou tenant du titre, à Strasbourg (gr. E) qui se rendra au stade olympique pour y défier l’AS Rome, en passant par Monaco (gr. A) qui accueillera Hambourg, l’équipe en forme de la Bundesliga, il y aura ainsi quelques belles affiches. Néanmoins, la formule quelque peu bâtarde de cette phase – chaque club dispute deux matches à domicile et deux à l’extérieur tandis qu’à chacune des cinq journées, un club est exempt – et la qualification pour les seizièmes de finale acquise pour les trois premiers autorisent tous les espoirs. C’est ce que peut se dire Lens (gr. C) qui devra négocier des déplacements au Steaua Bucarest et au Hertha Berlin et accueillir les méconnus Suédois d’Halmstad et les beaucoup plus illustres Italiens de la Sampdoria Gênes, actuellement 4e de série A. « C’est un bon tirage dans l’ensemble, avec pas de trop longs déplacements à faire, cela pour éviter la fatigue. Pour réaliser l’objectif de la qualification pour les seizièmes, il sera en tout cas nécessaire de s’imposer lors des deux matches à Bollaert », a sobrement réagi le président de Lens, Gervais Martel. De son côté, Rennes (gr. G) a, a priori, hérité du groupe le plus accessible avec le VfB Stuttgart et le Shakhtar Donetsk qui viendront en Bretagne et des voyages à Bucarest, contre le Rapid, et à Salonique lors de la dernière journée. « La qualification pour les seizièmes pourrait se jouer dans une ambiance très chaude en Grèce », fait néanmoins remarquer Pierre Dréossi, directeur sportif de Rennes. Ambiance Le genre d’ambiance que peut retrouver Strasbourg à Rome où évolue l’ex-strasbourgeois Olivier Dacourt. Auparavant, le Racing se sera rendu à Bâle et aura accueilli les Norvégiens de Tromso, tombeurs de Galatasaray au 1er tour. Lors de la 5e journée, c’est l’Étoile Rouge Belgrade, ancien vainqueur de Marseille en finale de Ligue des champions (1991), qui viendra à la Meinau. L’OM justement n’a pas été très gâté en tombant sur le tenant du titre, le CSKA Moscou, auquel il rendra visite dès la première journée. Mais si les Marseillais retrouvent tout leur tonus, ils devraient résister aux Néerlandais de Heerenveen, au Levski Sofia, qui a éliminé Auxerre, ainsi qu’au Dinamo Bucarest. « C’est un tirage équilibré, sans affiche très spectaculaire (...). Trois équipes sur cinq se qualifient : si nous jouons à notre niveau, avec un maximum de sérieux, nous avons toutes nos chances pour la qualification », a admis Pape Diouf, le président de l’OM. Enfin, l’AS Monaco aura fort à faire face à Hambourg, actuellement invaincu en Bundesliga (2e avec 6 victoires et 2 nuls), qui se rendra sur le Rocher. Néanmoins, les autres adversaires ne semblent pas constituer des adversaires insurmontables : le Slavia Prague, le CSKA Sofia et les Norvégiens de Viking Stavanger.
Les cinq équipes françaises engagées dans la phase de poules de la Coupe de l’UEFA, certaines de ne pas de tomber sur des terreurs tant la Ligue des champions aspire tous les plus grands, ont hérité de groupes relevés mais a priori abordables à l’issue du tirage au sort, hier.
De Marseille (gr. F), qui se frottera en Russie au CSKA Moscou tenant du titre, à Strasbourg (gr. E) qui se...