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Les voyeurs indésirables de la « Danse des roseaux » L’Afrique du Sud a adopté de sérieuses restrictions pour empêcher la diffusion de photos sur des sites pornographiques d’Internet des jeunes filles zouloues qui, ce week-end, comme chaque année, vont danser seins nus devant leur roi. De strictes mesures ont été mises en place pour l’accréditation des photographes désireux d’assister à cette cérémonie traditionnelle de la « Danse des roseaux », qui s’ouvre aujourd’hui au palais royal à Nongoma, dans la province du Kwazulu-Natal. Quelque 10 000 jeunes filles doivent participer à ce rituel au cours duquel elles s’engagent à rester vierges jusqu’au mariage, coutume instaurée il y a 200 ans par Shaka, roi fondateur de la nation zouloue. L’actuel roi zoulou, Goodwill Zwelethini, s’est dit inquiet du nombre croissant de photos de ces jeunes filles aux seins nus diffusées sur des sites pornographiques d’Internet. La « Danse des roseaux » est également une tradition annuelle au Swaziland voisin. Rencontres du « troisième type » en Chine Une conférence internationale réunissant des passionnés d’objets volants non identifiés (ovnis) est organisée pour la première fois en Chine, où le phénomène prend de l’ampleur. Cette conférence mondiale sur les ovnis, avec notamment des témoignages de rencontres du « troisième type », s’est ouverte jeudi et se clôturera aujourd’hui dans la ville de Dalian (nord-est). Selon les organisateurs, plusieurs associations et des passionnés de Chine et de l’étranger, notamment des États-Unis, de Grande-Bretagne, du Canada, du Japon ou d’Australie, participent à l’événement. Inconcevable sous le régime maoïste, l’intérêt pour les extraterrestres s’étend en Chine, où officiellement 50 000 personnes sont membres d’associations consacrées à ce sujet. « L’ufologie s’épanouit en Chine et la plupart des participants à cette conférence sont des professionnels », s’est réjoui Stanton Friedman, un physicien nucléaire américain présent à Dalian, cité par le China Daily. Le journal se demande cependant s’ils sont « des cinglés de science ou s’ils sont juste hypnotisés par une overdose de films de science-fiction ».