Le président de la République, Émile Lahoud, qui n’a pas été désigné comme « suspect » éventuel par le magistrat allemand Detlev Mehlis, dans l’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri, a souligné hier qu’il « assumera ses responsabilités jusqu’à la fin de son mandat ». Baabda s’est par ailleurs quelque peu rétracté dans sa défense du chef de la garde...
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Lahoud : Je resterai jusqu’au bout
le 02 septembre 2005 à 00h00
Le président de la République, Émile Lahoud, qui n’a pas été désigné comme « suspect » éventuel par le magistrat allemand Detlev Mehlis, dans l’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri, a souligné hier qu’il « assumera ses responsabilités jusqu’à la fin de son mandat ». Baabda s’est par ailleurs quelque peu rétracté dans sa défense du chef de la garde républicaine, Moustapha Hamdane, le porte-parole de la présidence, Rafic Chélala, estimant que le chef de l’État n’avait fait qu’exprimer son « opinion personnelle » au sujet de l’officier. Le président Lahoud a également demandé au ministère de la Justice et aux autorités judiciaires libanaises concernées de parachever l’examen des dossiers des personnes arrêtées. Ce qui lui a valu presque immédiatement une même réponse du Premier ministre Fouad Siniora et du chef du Courant du futur Saad Hariri : halte à toute tentative d’influer sur l’évolution de l’enquête ou de faire pression sur la justice libanaise.
Le président de la République, Émile Lahoud, qui n’a pas été désigné comme « suspect » éventuel par le magistrat allemand Detlev Mehlis, dans l’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri, a souligné hier qu’il « assumera ses responsabilités jusqu’à la fin de son mandat ». Baabda s’est par ailleurs quelque peu rétracté dans sa défense du chef de la garde...
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