Rechercher
Rechercher

Actualités

Catastrophe aérienne La police grecque perquisitionne au siège de la compagnie chypriote Helios

En colère, Chypre, qui a entamé un deuil de trois jours, pleurait hier les 121 victimes de l’accident du Boeing 737, qui s’est écrasé dimanche en Grèce. À la morgue de Goudi, au centre d’Athènes, des centaines de familles chypriotes sont venues pour identifier leurs proches, alors que la polémique sur les causes de la catastrophe enflait de plus en plus. Hier soir, le procureur général grec a délivré des mandats de perquisition du siège d’Helios afin de saisir des documents et d’autres éléments qui puissent être utiles dans une possible enquête criminelle. Plus tôt, le ministre de la Communication avait annoncé la suspension des vols d’Helios. Une information démentie par le président de la compagnie chypriote. Plusieurs équipages de la compagnie Helios ont toutefois refusé d’embarquer pour des raisons non précisées. Par ailleurs, l’enquête en cours s’oriente vers un décès brutal des pilotes par asphyxie en raison d’un problème d’alimentation en air.

En colère, Chypre, qui a entamé un deuil de trois jours, pleurait hier les 121 victimes de l’accident du Boeing 737, qui s’est écrasé dimanche en Grèce. À la morgue de Goudi, au centre d’Athènes, des centaines de familles chypriotes sont venues pour identifier leurs proches, alors que la polémique sur les causes de la catastrophe enflait de plus en plus. Hier soir, le procureur...