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Diaspora - Les divisions au sein de l’Union libanaise culturelle mondiale remontent à la surface Reprise de la polémique autour de la représentativité de l’ULCM

La polémique autour de la représentativité de l’Union libanaise culturelle mondiale (ULCM) a refait surface à la faveur de la tenue d’un congrès de cette organisation (branche Afrique) aujourd’hui à l’Unesco. Placé sous le parrainage du ministère des Affaires étrangères et des Émigrés, le congrès a été contesté par le vice-président de l’ULCM (branche Europe-États-Unis, Australie), Anis Karam. Ce dernier a tenu une conférence de presse pour dénoncer « certaines personnes qui tiennent des congrès au nom de l’ULCM au Liban et à l’étranger », les désignant comme étant des « usurpateurs d’identité ». Affirmant que « des mesures judiciaires seront prises à l’encontre de ces gens », il a insisté sur le fait que l’ULCM est représentée dans 32 États et qu’elle est présidée par Anis Garabet. M. Karam a aussi indiqué que cette organisation ne reconnaît aucun communiqué ou mouvement organisé en son nom sans l’autorisation de ses autorités. Parallèlement, les organisateurs du congrès ont fait paraître un communiqué dans lequel ils ont mis en garde contre « les susceptibilités et les dissensions mesquines », indiquant que l’ULCM est « une organisation non politique, conformément à son règlement », qualifiant également leurs détracteurs d’« usurpateurs d’identité ».
La polémique autour de la représentativité de l’Union libanaise culturelle mondiale (ULCM) a refait surface à la faveur de la tenue d’un congrès de cette organisation (branche Afrique) aujourd’hui à l’Unesco.
Placé sous le parrainage du ministère des Affaires étrangères et des Émigrés, le congrès a été contesté par le vice-président de l’ULCM (branche...