Rechercher
Rechercher

Actualités

Le patriarche dénonce les « vexations » aux frontières Sfeir aux responsables : Ne poussez pas le peuple au désespoir (Photo)

Le chef de l’Église maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a déploré hier la situation générale où se trouve le pays et demandé aux responsables d’avoir pitié du peuple. « Il ne se passe pas quelques jours sans qu’un nouvel attentat se produise, ici où là, contre des individus qu’on cherche à éliminer sans merci, a dit le patriarche. À cela s’ajoutent les souffrances d’une population sujette à des pressions et vexations, dont la moindre n’est pas la fermeture des frontières face aux produits que les Libanais ont pris l’habitude d’exporter vers l’hinterland, en particulier les produits périssables dont la détérioration entraîne d’énormes pertes. Et cela se passe en l’absence d’un gouvernement susceptible d’établir des contacts rapides afin de remédier à la situation, une absence due aux atermoiements habituels d’une caste politique inconsciente de ces enjeux pressants. C’est pourquoi nous en appelons aux responsables de tous bords en leur disant : ayez pitié du peuple, ne poussez pas les gens au désespoir. »
Le chef de l’Église maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a déploré hier la situation générale où se trouve le pays et demandé aux responsables d’avoir pitié du peuple.
« Il ne se passe pas quelques jours sans qu’un nouvel attentat se produise, ici où là, contre des individus qu’on cherche à éliminer sans merci, a dit le patriarche. À cela s’ajoutent les souffrances...