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Actualités - CHRONOLOGIE

FrontièreS - Les industriels à la recherche d’alternatives au transport terrestre Le Liban toujours soumis à un quasi-blocus syrien (Photo)

La situation ne fait qu’empirer aux frontières entre le Liban et la Syrie. Malgré les promesses faites par Damas « d’alléger les mesures sécuritaires », la longue file d’attente des camionneurs ne fait que s’allonger au fil des jours. Hier, seuls 17 camions ont pu traverser les deux postes-frontières officiellement reconnus. Or, affirment les responsables des mouvements syndicaux, il existe plusieurs autres points de passage illégaux sur lesquels il n’existe aucune mesure de contrôle et où s’effectue la majeure partie de la contrebande. Ce constat remet en cause les allégations sécuritaires avancées par Damas pour justifier son quasi-blocus imposé au Liban sous prétexte d’empêcher « l’introduction illicite d’armes » sur son territoire. De leur côté, les membres de l’Association des industriels libanais, qui se sont rendus hier sur place, ont publié un communiqué dans lequel ils ont mis en garde contre une « catastrophe économique » si les responsables ne prennent pas les choses en main. Les industriels n’ont pas écarté la possibilité de recourir à d’autres voies de communication, notamment l’établissement d’un pont aérien ou maritime.
La situation ne fait qu’empirer aux frontières entre le Liban et la Syrie. Malgré les promesses faites par Damas « d’alléger les mesures sécuritaires », la longue file d’attente des camionneurs ne fait que s’allonger au fil des jours. Hier, seuls 17 camions ont pu traverser les deux postes-frontières officiellement reconnus. Or, affirment les responsables des mouvements syndicaux,...