La France ne « s’est jamais sentie aussi proche du Liban » ; les relations franco-libanaises sont plus « fraternelles » que jamais ; les deux pays ont un « destin partagé ». C’est à coups de superlatifs forts que l’ambassadeur de France, Bernard Émié, a marqué hier dans son discours la traditionnelle cérémonie du 14 juillet à la Résidence des Pins. Une cérémonie qui a pris une autre dimension, cette année, en raison du regain d’influence de Paris au Liban au cours ces derniers mois. M. Émié a redit à cette occasion l’espoir et la confiance que la France continue à placer dans l’avenir du Liban. À Paris, le président Chirac, qui recevait pour l’occasion son homologue brésilien Lula da Silva, a pour sa part défendu les valeurs de la France.
La France ne « s’est jamais sentie aussi proche du Liban » ; les relations franco-libanaises sont plus « fraternelles » que jamais ; les deux pays ont un « destin partagé ». C’est à coups de superlatifs forts que l’ambassadeur de France, Bernard Émié, a marqué hier dans son discours la traditionnelle cérémonie du 14 juillet à la Résidence des Pins. Une cérémonie qui a pris...
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