Né à Bagdad en 1956, diplômé de l’École d’arts plastiques et ayant, par la suite, occupé une chaire de professeur, cet artiste n’oublie pas qu’un jour il...
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Exposition À la galerie Zamaan, jusqu’au 9 juillet Hassan Abboud à la recherche de sa spatialité (Photo)
Par Khalaf Colette, le 01 juillet 2005 à 00h00
L’Irak ne signifie pas seulement guerre et bain de sang. Hassan Abboud, peintre irakien qui expose ses œuvres jusqu’au 9 juillet à la galerie Zamaan, est la preuve vivante que l’art n’est pas mort dans ce pays déchiré.
Né à Bagdad en 1956, diplômé de l’École d’arts plastiques et ayant, par la suite, occupé une chaire de professeur, cet artiste n’oublie pas qu’un jour il peignait sur les murs de sa ville natale. Oiseau migrateur, ses expositions en Norvège, en France ou en Hollande le ramènent toujours vers l’Irak. Espaces, dialogues d’espaces, ou Métamorphoses d’un cube, autant d’huiles aux variations chromatiques qui sont à la fois une quête de couleurs et de spatialité. Toute référence au monde extérieur y est supprimée. Des teintes vives contrastent avec d’autres plus sombres, des plages de vide sont ranimées par certains signes ou empreintes. Une recherche moderne de l’esthétique qu’il exporte vers tous les rivages.
Colette KHALAF
L’Irak ne signifie pas seulement guerre et bain de sang. Hassan Abboud, peintre irakien qui expose ses œuvres jusqu’au 9 juillet à la galerie Zamaan, est la preuve vivante que l’art n’est pas mort dans ce pays déchiré.
Né à Bagdad en 1956, diplômé de l’École d’arts plastiques et ayant, par la suite, occupé une chaire de professeur, cet artiste n’oublie pas qu’un jour il...
Né à Bagdad en 1956, diplômé de l’École d’arts plastiques et ayant, par la suite, occupé une chaire de professeur, cet artiste n’oublie pas qu’un jour il...
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