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Harb critique le chef du Législatif et le prie de « dévoiler toutes les informations en sa possession »

Député de Batroun, Boutros Harb s’est déclaré particulièrement désolé par les propos attribués dans la presse à Nabih Berry. Le président de la Chambre avait invité les députés signataires de la pétition réclamant la tenue d’une séance parlementaire pour discuter de la loi électorale et de la loi d’amnistie générale à « arrêter de faire les intelligents, de pleurnicher et de se plaindre. Au lieu de cela, qu’ils intensifient les contacts avec le président Karamé et qu’ils cessent de perdre leur temps en faisant de la surenchère à propos d’une loi électorale alors qu’ils souhaitent son contraire. Ou alors je dévoile tout », avait menacé Nabih Berry. « Il est inadmissible que le dialogue entre le président de la Chambre et les députés se fasse de cette manière », a déclaré M. Harb, soulignant à l’adresse du n° 2 de l’État que son attachement en faveur de la loi de 1960 et de la proposition revêtue du caractère de double urgence qu’il avait rédigée et qui avait reçu l’aval de toute l’opposition est un attachement « de principe, uniquement lié à la crédibilité et l’efficacité de la représentativité ». M. Harb a réitéré ses critiques à l’égard de la loi 2000, ainsi que son appel en faveur de la libération de Samir Geagea, priant Nabih Berry de dévoiler « toutes les informations qu’il détient », de « ne rien cacher à l’opinion publique, parce qu’il est du droit des Libanais de connaître la vérité », et d’éclairer ses affirmations ou alors de les démentir.
Député de Batroun, Boutros Harb s’est déclaré particulièrement désolé par les propos attribués dans la presse à Nabih Berry. Le président de la Chambre avait invité les députés signataires de la pétition réclamant la tenue d’une séance parlementaire pour discuter de la loi électorale et de la loi d’amnistie générale à « arrêter de faire les intelligents, de pleurnicher...