«Les armes palestiniennes ne feront pas l’objet de concessions politiques », a réaffirmé hier Sultan Abou al-Aynaïn, secrétaire général du Fateh au Liban. Il s’exprimait lors d’un grand rassemblement populaire anti-israélien, organisé par l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), qui s’est tenu dans les ruelles du camp de Rachidiyé à Tyr, auquel ont également participé Abbas Issa, un membre du mouvement Amal, et des représentants de partis libanais « nationaux » et islamiques, et d’organisations palestiniennes. M. Abou al-Aynaïn a appelé à un dialogue dans le cadre duquel l’OLP sera la référence et le seul représentant légal. « Ces armes ainsi que celles de la Résistance libanaise ne sont pas matière au commerce politique », a-t-il ajouté. Au sujet de la loi d’amnistie, le secrétaire général du Fateh, condamné à mort par contumace par la justice libanaise, a considéré qu’« elle resterait incomplète si elle n’englobait pas également tous les Palestiniens ». « C’est par le biais de cette amnistie que nous commencerons à renforcer la relation libano-palestinienne », a-t-il ajouté. Pour sa part, M. Issa a assuré qu’il ne fallait pas « abandonner les armes qui servent à protéger le droit et la dignité ». Une autre manifestation anti-israélienne a notamment eu lieu au camp de Aïn el-Héloué, à Saïda.
«Les armes palestiniennes ne feront pas l’objet de concessions politiques », a réaffirmé hier Sultan Abou al-Aynaïn, secrétaire général du Fateh au Liban. Il s’exprimait lors d’un grand rassemblement populaire anti-israélien, organisé par l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), qui s’est tenu dans les ruelles du camp de Rachidiyé à Tyr, auquel ont également...
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