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Actualités - CHRONOLOGIE

L’ancien président du Conseil proteste contre les réunions du Conseil des ministres et des commissions parlementaires Hoss : Ce qui se passe est une honte

«Ce n’est pas ainsi que l’on construit une nation. Ce qui se passe est une honte. » L’ancien président du Conseil, reçu jeudi par le président syrien, a publié hier un communiqué dans lequel il s’en est vivement pris à la réunion du Conseil des ministres et à celle des commissions parlementaires. « Dans ces deux occasions, la classe politique a mis en berne les drapeaux brandis par les jeunes à la place des Martyrs. À chaque fois que nous avons une occasion de faire un pas en avant, la classe politique montre de nouveau son vrai visage, celui du confessionnalisme et des intérêts étroits. Au Conseil des ministres, ils se sont disputés au sujet de la confession du futur directeur général de la Sûreté, et au Parlement, ils ont montré que leurs intérêts électoraux et leurs appartenances confessionnelles étaient plus importants que les considérations nationales. Nous sommes très forts dans la surenchère nationaliste, mais dès qu’on essaie d’aller un peu plus loin, c’est toujours au visage du confessionnalisme que l’on se heurte. Ce n’est pas ainsi que l’on construit une nation. »L’ancien président du Conseil proteste contre les réunions du Conseil des ministres et des commissions parlementaires Hoss : Ce qui se passe est une honte «Ce n’est pas ainsi que l’on construit une nation. Ce qui se passe est une honte. » L’ancien président du Conseil, reçu jeudi par le président syrien, a publié hier un communiqué dans lequel il s’en est vivement pris à la réunion du Conseil des ministres et à celle des commissions parlementaires. « Dans ces deux occasions, la classe politique a mis en berne les drapeaux brandis par les jeunes à la place des Martyrs. À chaque fois que nous avons une occasion de faire un pas en avant, la classe politique montre de nouveau son vrai visage, celui du confessionnalisme et des intérêts étroits. Au Conseil des ministres, ils se sont disputés au sujet de la confession du futur directeur général de la Sûreté, et au Parlement, ils ont montré que leurs intérêts électoraux et leurs appartenances confessionnelles étaient plus importants que les considérations nationales. Nous sommes très forts dans la surenchère nationaliste, mais dès qu’on essaie d’aller un peu plus loin, c’est toujours au visage du confessionnalisme que l’on se heurte. Ce n’est pas ainsi que l’on construit une nation. »

«Ce n’est pas ainsi que l’on construit une nation. Ce qui se passe est une honte. » L’ancien président du Conseil, reçu jeudi par le président syrien, a publié hier un communiqué dans lequel il s’en est vivement pris à la réunion du Conseil des ministres et à celle des commissions parlementaires. « Dans ces deux occasions, la classe politique a mis en berne les drapeaux...